#Vous croyez que quelqu’un ou quelque chose vient vous chercher
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ILS NE VIENNENT PAS VOUS CHERCHER, ILS VIENNENT SE SOUVENIR DE VOUS
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . Ils ne viennent pas vous chercher. Chaque fois que vous vous sentez craintif, tendu ou combatif, il y a un sous-texte. Vous croyez que quelqu’un ou quelque chose vient vous chercher, vous punir, vous achever, vous détruire. Ce sens de l’adversité et des adversaires doit être maintenu en place pour l’expérience de la haine…
#En vérité#et l’amour met fin à votre sentiment de moi séparé.#seul l’amour est ici#vous achever#Vous croyez que quelqu’un ou quelque chose vient vous chercher#vous détruire.#vous punir
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Ne pas parler de son ex-femme pendant 5 minutes ? Ça pourrait être un jeu d’enfant pour n’importe qui, mais pour Ennio c’est presque un challenge. Il n’a pas réussi à écarter son divorce des conversations qu’il a eues dernièrement… enfin dernièrement depuis 2 ans. Si pour certains, ce n’est pas bien grave d’entendre parler de Mia à chaque discussion, mentionner son ex-femme en plein rendez-vous galant ça n’a pas trop fonctionné jusqu’à présent comme technique de drague. A vrai dire même, tous ses rencards n’avaient été que des catastrophes ne menant quasiment jamais à des deuxièmes rencontres, en presque deux ans de célibat. Quelle honte quand il y pense. C’est à se demander où était passé son charme d’avant — ce charme qui lui avait permis de charmer Mia si facilement. Merde. Même dans sa tête il n’a pas réussi à laisser de côté cette femme plus de deux secondes. « Je vais faire de mon mieux, mais ça ne devrait pas trop être compliqué, si on parle un peu de vous pour changer. » Il répond en souriant. Plusieurs sourires dans la soirée, incroyable ! Finalement après avoir passé son temps seul, 5 minutes de compagnie ne lui faisait pas de mal. Alors autant tenter le défi posé par l’inconnue pour ne pas la faire fuir tout de suite, et au moins ne pas laisser une mauvaise impression à quelqu’un ce soir. « Vous cherchez à fuir quelque chose vous aussi, ou vous faites la fête ce soir ? »
Neva garde quelques doutes concernant sa capacité à ne pas parler de son ex-femme de suite. Elle ne le connait peut être que depuis quelques minutes mais elle peut facilement imaginer la raison de sa solitude actuelle. Mais la jeune femme décide de ne pas le décourager de suite. Elle n'est pas à l'abri d'avoir une bonne surprise. En tout cas, elle a envie d'en avoir une. Elle prend le temps de s'asseoir plus confortablement sur le tabouret à ses côtés, réfléchissant brièvement à la question. « Un peu des deux, si je suis totalement honnête. » Répond elle alors que son regard se perd distraitement vers son verre. Cela lui rappelle que ses amis doivent l'attendre sur la piste, probablement désireux de recevoir la prochaine tournée qu'elle leur avait promis. Et qu'elle ne peut définitivement pas payer. Neva a beau apprécier ses amis, c'est assez éreintant de devoir maquiller la vérité à chaque fois qu'elle passe du temps avec eux. Ça a plutôt tendance à annuler la joie que leurs sorties sont censées lui procurer. Elle se sent assez minable quand elle réalise que fuir avec ce genre de soirées ne fait en réalité que la confronter davantage à ce qu'elle voulait éviter. C'est surement pour cela que la discussion qu'elle est en train d'avoir constitue le moment le plus agréable de sa nuit. Il ne la connait pas, il n'a donc aucune attentes la concernant. Et c'est particulièrement reposant pour elle. Son regard vient alors chercher les pupilles sombres de son interlocuteur. « Si on est tous les deux d'accord pour continuer à fuir encore un peu on peut peut être trouver un moyen plus agréable que se saouler avec un whisky hors de prix. » Un sourire enjoué se dessine sur ses lèvres. « Vous ne croyez pas ? »
You're a call to motion / Neva & Ennio
Où? : Dans un bar New Yorkais branché. Quand?: Aux alentours de minuit. Qui?: Neva et Ennio.
Il se rend bien compte qu’il doit avoir l’air particulièrement pathétique, recroquevillé sur le comptoir du bar, en train de se noyer dans un ultime verre de whisky pur qui lui fait passer le stade du gars un peu éméché au gars complètement torché. Ennio relève la tête pour zieuter les alentours. Des filles qui dansent, des gens qui discutent. Personne de plus seul que lui. L’enterrement de vie de jeune fille d’une dénommée Emily (ou un truc comme ça) bat son plein à côte. Il sait qu’elle s’appelle à peu près Emily puisqu’elle est venue le draguer deux heures plus tôt quand il n’était pas encore au stade ridicule de son alcoolémie. Pas encore mariée qu’Emily-truc-chouette se lâche sur le premier venu ! Et bien… Il a répondu à ses avances par un « Tu verras, ça coûte cher le divorce, tiens la carte de mon avocat », qui comme tout le monde aurait pu s’y attendre, n’a pas vraiment plu à Emitruc qui a rapidement déserté. Le business man déprimé s’est de nouveau retrouvé seul avec ses propres pensées, avec seulement son téléphone pour lui tenir compagnie. iPhone tout neuf qu’il sort de nouveau de sa poche pour reproduire encore une fois la boucle de cette soirée : pour ouvrir Instagram, se rendre sur le profil de Mia, et regarder encore un coup cette photo pour se rappeler que tout est bien réel. Mia, ses beaux cheveux blonds sublimes qui recouvrent sa poitrine voluptueuse, et la main de cet enculé de Roman sur son ventre bombé. Sa femme allait avoir un bébé… Oui, son ex-femme... certes. Il avait un peu de mal à se faire au divorce. En plus, évidemment Mia avait tout fait pour rendre ça instagramable et esthétique. Le couple parfait qui fait rêver. Ennio en est littéralement dégoûté. Ou est-ce que c’est l’alcool ? Non… Peut-être plutôt qu’il n’a pas assez bu pour que ça ne lui fasse plus rien. « Je peux avoir la même chose, s’il-vous-plaît ? » Il demande au barman, alors qu’il laisse retomber son téléphone sur le plan de travail après l’avoir éteint pour de bon pour ne plus être tenté de jeter un nouveau coup d’oeil. Ce qui est complètement con puisqu’il va avoir besoin de le rallumer après son verre pour appeler son chauffeur. « Je suis complètement con, je vais avoir besoin de le rallumer après mon verre pour appeler mon chauffeur. » … Oui. Il l’a dit à voix haute. A la jolie brune juste à côté qui a l’air bien plus fraîche que lui. C’est bien, comme s’il n’avait pas suffisamment l’air d’un crétin. Il replace sa cravate qui est de toute façon de travers pour occuper sa gêne. « Je me parle. » Il précise, comme si c’était nécessaire.
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JOUR 4 – 20/03/20
[Résumé : Arcimbaldo, jeune chevalier, souhaite occuper le trône laissé vacant depuis la disparition du roi. Pour cela il a arrangé un mariage entre Thomas et sa cousine Francinetta afin de bénéficier de l’argent de la dote pour financer son expédition. Mais Thomas est amoureux d’une autre femme, Olivia.
Olivia de son côté vient d’apprendre que son petit frère a reçu énormément d’argent de la part d’une mystérieuse jeune femme à condition qu’il l’accompagne dans la forêt.]
-« Jean, va chercher la dame et amène la ici. Vite. »
Jean regarda avec des yeux déconfits sa sœur. Ce n’était pas cela, elle n’avait rien compris. Il n’était pas censé ramener la dame ici mais l’escorter dans la forêt ! Sa grande aventure ce n’était pas d’accompagner la très belle et très jeune dame depuis les rochers blancs en lisière du village jusqu’à leur maison mais de la conduire là où les arbres sont si hauts qu’on ne voit plus le ciel.
-« Va chercher la dame. » répéta fermement Olivia.
L’enfant soupira. Pourquoi personne ne l’écoutait jamais ? Pourquoi les adultes ont toujours les oreilles fermées ? Il fronça les sourcils et s’en alla comme un courant d’air, ses jambes trop petites tricotant à la vitesse de la lumière.
-« Olivia… » murmura Lucie.
Mais la jeune femme était trop loin dans sa rêverie pour l’entendre. La machinerie de ses pensées marchait à plein régime. Mille questions la tourmentaient, mille questions auxquelles il fallait une réponse… A commencer par savoir ce qui pouvait bien pousser une jeune femme à s’aventurer du côté de la forêt en pleine nuit ! Qu’est-ce qui pouvait valoir la peine de prendre le risque de tomber sur des animaux sauvages, ou pire encore, des bandits ? Et pourquoi demander à un enfant de l’accompagner ? Avec autant d’argent elle aurait pu acheter les services de quelques gardes ou chevaliers dépourvus de scrupule et qui l’auraient conduite plus sûrement que n’importe qui d’autre à sa destination… Cela n’avait aucun sens.
La porte grinça ramenant brusquement Olivia à la réalité. Jean entra dans la maison, il marchait doucement en fixant la pointe de ses chaussures. Olivia était sur le point de lui demander où était la jeune femme quand une silhouette apparue derrière lui.
Elle était là. Elle était le plus simplement du monde là. Elle était… d’une beauté à faire pleurer les pierres, enveloppée dans une capeline de soie d’un blanc presque translucide. La délicate créature semblait flotter dans les airs, ses pieds effleurant à peine le sol. Elle regardait avec curiosité l’intérieur austère et rudimentaire de la maison, ses yeux d’un marron presque noir caressant les objets vieillis et abîmés qu’ils trouvaient sur leur chemin. Ses cheveux ondoyaient comme s’ils étaient légèrement agités par une brise. Elle ne portait qu’un seul gant, à la main gauche, d’un rouge vif.
Olivia fut touchée par l’air grave et affecté de cette mystérieuse jeune femme. Elle n’osa pas parler, il lui sembla même que l’espace d’une seconde elle oublia de respirer. Puis, revenant à elle, elle dit d’une voix tremblotante et qui trahissait son émotion :
-« Mon frère m’a dit que vous vouliez aller dans la forêt. Vous ne devez pas être sans savoir que c’est un endroit dangereux, surtout depuis que le roi a disparu. Je peux vous y amener, mais pour le double de ce que vous proposez. »
La douce âme ne sembla pas l’entendre.
-« Est-ce que tu habites vraiment ici ? » demanda-t-elle à Jean. « C’est si sale et si petit. Comment quelqu’un pourrait vraiment habiter ici ? Le château où j’ai grandi est grand, si grand que je pouvais rester des jours entiers sans croiser personne. »
-« Pourquoi est-ce que tu es partie alors ? » répondit Jean avec l’innocence de l’enfance.
Le visage de l’inconnue s’assombrit.
-« Parce que mon père m’a fait pleurer, et je ne veux plus jamais pleurer. »
Qui pouvait bien être cette étrange femme ?
-« Tu vas me conduire au cœur de la forêt ? » demanda-t-elle d’une voix sans âge.
-« Pourquoi tu veux aller au cœur de la forêt ? » reprit Jean qui caressait d’une main distraite le visage endormi de sa mère.
-« Parce que personne ne s’aventure aussi loin et que je veux quitter à jamais la compagnie des hommes mais être au plus profond du cœur de quelqu’un. Je serai seule avec les saules et ils pleureront pour moi. »
Olivia regardait fixement la jeune femme, sans bouger. Elle espérait comprendre cet être d’une grâce surnaturelle au détour d’un de ses mouvements.
-« Et il est où ton château ? » continua Jean.
-« Là où il est je ne retournerai pas. » dit doucement l’inconnue.
-« Et pourquoi tu portes qu’un gant, tu as perdu l’autre ? » demanda Jean « Tu as perdu l’autre ? »
La mystérieuse jeune femme se tourna brusquement vers Olivia.
-« Vous avez dit que vous me conduiriez au cœur de la forêt ! »
Elle l’avait donc bien vu. Elle avait fait semblant, elle l’avait ignoré pour la mettre dans l’embarras et maintenant qu’elle était elle-même embarrassée par les questions indiscrètes d’un enfant elle s’agrippait à elle comme un naufragé à un rocher.
-« Quel âge avez-vous ? » dit Olivia que la question taraudait depuis un moment.
-« Conduisez-moi dans la forêt ! Vous avez dit que vous m’y conduiriez ! » s’exclama l’inconnue qui n’avait vraisemblablement plus envie de jouer et qui perdait patience.
-« Vous devez être bien jeune pour ne pas avoir compris que la douleur fait partie de la vie et que l’on n’a pas l’un sans l’autre. » lâcha Olivia sans cacher un certain mépris. « Quel âge avez-vous ? »
La jeune femme ne répondit pas. Olivia s’approcha d’elle. Elle lui sembla bien plus petite que ce qu’elle s’était imaginée. Elle avait un visage d’enfant, quelque chose de si naïf et de si tendre dans le regard que cela l’agaça.
-« Votre père doit se faire du souci, rentrez chez vous. » enjoignit Olivia.
Mais la jeune femme ne bougea pas.
-« Vous ne connaissez rien de la vie, » reprit Olivia « Vous vous ennuyez alors vous décidez de partir dans la forêt sans même savoir ce qui vous y attend et ce que vous risquez. Une femme ne doit pas s’éloigner des routes, croyez-moi. »
La jeune femme ne dit rien, elle resta immobile, sa mâchoire crispée, ses poings fermés, ses yeux pleins de colère fixant Olivia.
Olivia sourit, pas un joli sourire non, plutôt un sourire aigu, carnassier.
-« Ca ne sert à rien de faire votre bête farouche avec moi, j’en ai combattu des bien plus dangereuses que vous. » Puis, d’un geste qu’elle trouva elle-même assez vulgaire elle attrapa quelques pièces qui trainaient et les jeta en direction de l’inconnue. « Tout ce qu’on attend de vous c’est que vous trouviez un gentil petit mari et que vous repreniez votre gentille petite vie, alors rentrez chez vous maintenant. Je ne peux pas accepter l’argent d’une enfant. »
A ces derniers mots, la maison se mit à trembler.
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LA FOI AU-DELÀ DES MIRACLES
David Wilkerson (1931-2011)
May 19, 2021
Il vient un moment où certaines situations de la vie sont au-delà de tout espoir humain. Il n’y a aucun conseil, aucun docteur, aucune médecine ni rien d’autre qui puisse aider. La situation est devenue impossible. Elle requiert un miracle ou finira dans la dévastation.
Dans de tels moments, le seul espoir est de se tourner vers Jésus. La personne qui se trouve dans cette situation doit prendre la responsabilité de s’emparer de Jésus et décider : “Je n’arrêterai pas de demander tant que je n’aurai pas reçu une réponse de la part du Seigneur. Il doit me dire : “C’est fait, maintenant continue d’avancer.””
Dans l’évangile de Jean, nous trouvons une famille qui traverse une telle crise : “Il y avait à Capernaüm un officier du roi, dont le fils était malade” (Jean 4:46). Il s’agissait d’une famille aisée, mais un esprit de mort planait sur ce foyer tandis que les parents s’occupaient de leur fils mourant. Quelqu’un dans cette famille troublée savait qui était Jésus et avait entendu parler de Sa puissance miraculeuse. La nouvelle de la présence de Jésus à Cana a atteint cette maisonnée, à quelques quarante kilomètres de là. Désespéré, le père a décidé d’aller trouver le Seigneur. L’Écriture nous dit : “Ayant appris que Jésus était venu de Judée en Galilée, il alla vers lui” (Jean 4:47).
La Bible dit qu’il “le pria de descendre et de guérir son fils, qui était près de mourir” (4:47). Quel merveilleux exemple d’intercession. Cet homme a tout mis de côté pour chercher le Seigneur et obtenir une parole de Sa part.
Christ Lui a répondu : “Jésus lui dit : Si vous ne voyez des miracles et des prodiges, vous ne croyez point” (Jean 4:48). Que voulait dire Jésus ? Il disait à cet homme riche qu’une délivrance miraculeuse n’était pas ce qui était le plus urgent. La chose qui était la plus importante, c’était la foi de cet homme.
Christ désirait plus pour cet homme et sa famille. Il voulait qu’ils croient qu’Il était Dieu fait chair. Donc, il disait au noble, en substance : “Crois-tu que c’est Dieu que tu es en train de rechercher pour ce besoin ? Crois-tu que je suis le Christ, le sauveur du monde ?” Le noble a répondu : “Seigneur, descends avant que mon enfant meure” (Jean 4:49). A ce moment-là, Jésus a dû voir de la foi chez cet homme. C’était comme si Jésus disait : “Il croit que je suis Dieu fait chair” parce que nous lisons ensuite : “Va, lui dit Jésus, ton fils vit” (Jean 4:50).
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IX. Il est essentiel d’échanger clairement sur le fait que Christ qui est la manifestation de Dieu Lui-même
2. Christ est-Il vraiment le Fils de Dieu ou est-Il Dieu Lui-même ?
Versets bibliques pour référence :
« Moi et le Père nous sommes un » (Jean 10:30).
Paroles de Dieu concernées :
Le Dieu incarné S’appelle le Christ, et le Christ est la chair que revêt l’Esprit de Dieu. Cette chair ne ressemble à aucun homme qui est fait de chair. Cette différence tient au fait que le Christ n’est pas de chair et de sang, mais Il est l’incarnation de l’Esprit. Il possède à la fois une humanité normale et une divinité complète. Sa divinité n’est possédée par aucun homme. Son humanité normale sustente toutes Ses activités normales dans la chair, tandis que Sa divinité réalise l’œuvre de Dieu Lui-même. Que ce soit Son humanité ou Sa divinité, toutes deux sont soumises à la volonté du Père céleste. L’essence du Christ est l’Esprit, c’est-à-dire, la divinité. Par conséquent, Son essence est celle de Dieu Lui-même; […] Étant donné que Dieu Se fait chair, Il réalise Son essence dans Sa chair, […] Et puisque Dieu Se fait chair, Il travaille dans l’identité de Sa chair ; comme Il vient dans la chair, Il achève ensuite dans la chair l’œuvre qu’Il doit faire. Que ce soit l’Esprit de Dieu ou le Christ, les deux sont Dieu Lui-même, et Il fait l’œuvre qu’Il doit faire et accomplit le ministère qu’Il doit accomplir.
Extrait de « L’essence du Christ est l’obéissance à la volonté du Père céleste », La Parole apparaît dans la chair
La chair incarnée tire son origine de l’Esprit : elle est l’incarnation de l’Esprit, c’est-à-dire, la Parole devenue chair. En d’autres termes, Dieu Lui-même vit dans la chair. […] Pour cette raison, même s’Il est appelé « homme », Il ne fait pas partie de la race humaine et n’a pas d’attributs humains : c’est l’homme duquel Dieu Se revêt, c’est l’homme que Dieu approuve. L’Esprit de Dieu S’incarne dans les paroles et les paroles de Dieu sont directement révélées dans la chair. Cela rend d’autant plus clair le fait que Dieu vit dans la chair et est un Dieu plus concret, d’où la preuve que Dieu existe, mettant fin ainsi à l’âge de la rébellion de l’humanité contre Dieu.
Extrait de « Interprétation de la sixième déclaration », La Parole apparaît dans la chair
Le Fils de l’homme incarné exprimait la divinité de Dieu par le biais de Son humanité et transmettait la volonté de Dieu au genre humain. Et par l’expression de la volonté de Dieu et de Son tempérament, Il révéla aussi aux gens le Dieu qui ne peut pas être vu ou touché dans le domaine spirituel. Ce que les gens ont vu est Dieu Lui-même, tangible, avec de la chair et des os. Ainsi le Fils de l’homme incarné fit de la propre identité de Dieu, de Son statut, de Son image, de Son tempérament et de ce qu’Il a et est des choses concrètes et humanisées. Même si l’apparence extérieure du Fils de l’homme avait quelques limitations au regard de l’image de Dieu, Son essence et ce qu’Il a et est étaient tout à fait capables de représenter l’identité propre de Dieu et Son statut. Il y avait seulement quelques différences dans la forme de l’expression. Peu importe s’il s’agissait de l’humanité du Fils de l’homme ou de Sa divinité, nous ne pouvons pas nier qu’Il représentait l’identité propre de Dieu et Son statut. Pendant ce temps, toutefois, Dieu travaillait par la chair, parlait du point de vue de la chair et se tenait face au genre humain avec l’identité et le statut du Fils de l’homme ; cela donnait aux gens l’opportunité de rencontrer et de vivre les vraies paroles et l’œuvre véritable de Dieu parmi les hommes. Cela permettait aussi aux gens d’acquérir une idée de Sa divinité et de Sa grandeur en toute humilité, ainsi que d’obtenir une compréhension préliminaire et une définition préliminaire de l’authenticité et de la réalité de Dieu. Même si l’œuvre accomplie par le Seigneur Jésus, Ses manières de travailler et la perspective à partir de laquelle Il parlait différaient de la vraie personne de Dieu dans le domaine spirituel, tout Le concernant représentait véritablement Dieu Lui-même que les humains n’avaient jamais vu auparavant : cela ne peut être nié ! Cela veut dire que peu importe dans quelle forme Dieu apparait, peu importe à partir de quelle perspective Il s’exprime ou à dans quelle image Il se présente à l’humanité, Dieu ne représente que Lui-même. Il ne peut représenter aucun humain. Il ne peut représenter aucun humain corrompu. Dieu est Dieu Lui-même et cela ne peut être nié !
Extrait de « L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même III », Suite de la Parole apparaît dans la chair
Quand Jésus appelait le Dieu du ciel par le nom du Père alors qu’Il priait, cela n’a été fait que du point de vue d’un homme créé, seulement parce que l’Esprit de Dieu s’était vêtu comme un homme ordinaire et normal et avait l’aspect extérieur d’un être créé. Même s’il y avait en Lui l’Esprit de Dieu, Son apparence externe restait celle d’un homme ordinaire ; en d’autres termes, Il était devenu le « Fils de l’homme » dont tous les hommes, y compris Jésus Lui-même, parlaient. Étant donné qu’Il est appelé le Fils de l’homme, Il est une personne (peu importe, homme ou femme, en tout cas quelqu’un ayant une enveloppe extérieure d’un être humain) née dans une famille normale de gens ordinaires. Par conséquent, Jésus appelant le Dieu du ciel par le nom de Père se comportait de la même façon que vous lorsque vous L’appeliez au départ par « Père » ; Il l’a fait du point de vue d’un homme de la création. Vous souvenez-vous toujours de la Prière du Seigneur que Jésus vous a apprise à mémoriser ? « Notre Père qui es aux cieux… » Il a demandé à tout homme d’appeler Dieu qui est au ciel par le nom de Père. Et puisque Lui aussi Il L’a appelé Père, Il l’a fait du point de vue de celui qui est sur un même pied d’égalité avec vous tous. Puisque vous appeliez le Dieu du ciel par le nom de Père, cela montre que Jésus S’est vu sur un même pied d’égalité avec vous, et comme un homme sur la terre choisi par Dieu (c’est-à-dire le Fils de Dieu). Si vous appelez Dieu « Père », n’est-ce pas parce que vous êtes un être créé ? Quelle que soit l’autorité de Jésus sur la terre, avant la crucifixion, Il était simplement un Fils de l’homme, dirigé par le Saint-Esprit (c’est-à-dire par Dieu) et l’un des êtres créés de la Terre, car Il devait encore achever Son œuvre. Par conséquent, le fait qu’Il ait appelé le Dieu du ciel par « Père » n’était que Son humilité et Son obéissance. Le fait qu’Il S’adresse à Dieu (c’est-à-dire, l’Esprit dans le ciel) de cette façon, toutefois, ne prouve pas qu’Il est le Fils de l’Esprit du Dieu du ciel. C’est plutôt simplement que Sa perspective est différente, et non pas qu’Il est une personne différente. L’existence de personnes distinctes est une erreur ! Avant Sa crucifixion, Jésus était un Fils de l’homme lié par les limites de la chair, et Il n’était pas en pleine possession de l’autorité de l’Esprit. C’est pourquoi Il ne pouvait chercher la volonté de Dieu le Père que du point de vue d’un être créé. C’est comme lorsqu’Il a prié trois fois à Gethsémani : « Non pas ce que je veux, mais ce que tu veux ». Avant qu’Il ne soit porté sur la croix, Il n’était que le roi des Juifs ; Il était le Christ, le Fils de l’homme, et non un corps de gloire. C’est pourquoi, du point de vue d’un être créé, Il appelait Dieu Père.
Extrait de « La Trinité existe-elle ? », La Parole apparaît dans la chair
Il y en a encore qui disent, Dieu n’a-t-Il pas expressément dit que Jésus était Son Fils bien aimé ? « Jésus est le Fils bien aimé de Dieu, en qui Il a mis toute Son affection » c’était certainement une déclaration de Dieu Lui-même. C’était Dieu qui témoignait de Lui-même, mais simplement d’une perspective différente, celle de l’Esprit dans les cieux témoignant de Sa propre incarnation. Jésus est Sa propre incarnation, non pas Son Fils au ciel. Le comprends-tu ? Les paroles de Jésus : « Le Père est en Moi et Je suis dans le Père », n’indiquent-elles pas qu’Ils sont un seul Esprit ? Et n’est-ce pas en raison de l’incarnation qu’Ils furent séparés entre le ciel et la terre ? En réalité, Ils sont encore un ; quoi qu’il arrive, c’est simplement Dieu qui Se rend témoignage à Lui-même. En raison du changement d’ère, des exigences de l’œuvre et des différentes étapes de Son plan de gestion, le nom par lequel l’homme L’appelle est également différent. Quand Il est venu pour accomplir la première étape de l’œuvre, Il ne pouvait être appelé que l’Éternel, le berger des Israélites. Dans la deuxième étape, le Dieu incarné ne pouvait être appelé que Seigneur, et Christ. Mais à cette époque, l’Esprit dans le ciel déclara seulement qu’Il était le Fils bien-aimé de Dieu, et ne mentionna nullement qu’Il était le Fils unique de Dieu. Ceci n’a pas eu lieu. Comment Dieu peut-Il avoir un enfant unique ? Dieu ne serait-Il alors pas devenu un homme ? Parce qu’Il était l’incarnation, Il était appelé le Fils bien-aimé de Dieu, et, de là, est née la relation entre le Père et le Fils. C’était simplement à cause de la séparation entre le ciel et la terre. Jésus priait sous l’angle de chair. Puisqu’Il S’était vêtu d’une chair d’une humanité normale, c’est sous l’angle de chair qu’Il dit : Mon apparence extérieure est celle d’un être créé. Depuis que Je Me suis vêtu d’une chair pour venir sur cette terre, Je suis très éloigné du ciel. Pour cette raison, Il ne pouvait que prier Dieu le Père sous un angle de chair. C’était Son devoir, et ce dont l’Esprit de Dieu incarné devrait être doté. On ne peut pas dire qu’Il n’est pas Dieu simplement parce qu’Il prie le Père sous l’angle de chair. Bien qu’Il soit appelé le Fils bien-aimé de Dieu, Il est encore Dieu Lui-même, car Il n’est que l’incarnation de l’Esprit, et Sa substance c’est encore l’Esprit.
Extrait de « La Trinité existe-elle ? », La Parole apparaît dans la chair
Si quelqu’un parmi vous dit qu’effectivement la Trinité existe, alors qu’il explique exactement ce qu’est ce Dieu en trois personnes. Qui est-ce le Père très saint ? Qui est le Fils ? Qui est le Saint-Esprit ? L’Éternel est-Il le Père très saint ? Jésus est-Il le Fils ? Et qu’en est-Il du Saint-Esprit ? Le Père n’est-Il pas un Esprit ? La substance du Fils n’est-elle pas aussi un Esprit ? L’œuvre de Jésus n’était-elle pas l’œuvre du Saint-Esprit ? L’œuvre de l’Éternel n’était-elle pas accomplie à l’époque par un Esprit comme Celui de Jésus ? Combien d’Esprits Dieu peut-Il avoir ? Sur la base de ton explication, les trois personnes que sont le Père, le Fils et le Saint-Esprit ne font qu’une personne ; si c’est le cas, il y a trois Esprits, mais avoir trois Esprits signifie qu’il y a trois Dieux. Ce qui veut dire qu’il n’y a pas un vrai Dieu ; comment ce type de Dieu peut-Il avoir la substance inhérente de Dieu ? Si tu acceptes qu’il y a un seul Dieu, alors comment peut-Il avoir un fils et être un père ? Ne sont-ce pas simplement tes idées ? Il n’y a qu’un seul Dieu, une seule personne dans ce Dieu et un seul Esprit de Dieu, tout autant qu’il est écrit dans la Bible : « Il n’y a qu’un seul le Saint-Esprit et un seul Dieu ». Peu importe que le Père et le Fils dont tu parles existent, après tout il n’y a qu’un seul Dieu, et la substance du Père, du Fils, et du Saint-Esprit à laquelle tu crois est la substance du Saint-Esprit. En d’autres termes, Dieu est un Esprit, mais Il est capable de devenir chair et de vivre parmi les hommes, ainsi que d’être au-dessus de toutes choses. Son Esprit est tout-inclusif et omniprésent. Il peut simultanément être dans la chair et dans tout l’univers. Puisque les hommes disent que Dieu est le seul vrai Dieu, alors il n’y a donc qu’un seul Dieu, qui ne peut être divisible à volonté par personne ! Dieu n’est qu’un seul Esprit, et qu’une seule personne ; et c’est l’Esprit de Dieu. Si c’est comme tu dis, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, alors ne sont-Ils pas trois Dieux ? Le Saint-Esprit est une matière, le Fils une autre et le Père en est aussi une autre. Ce sont des personnes distinctes de différentes substances, alors comment peuvent-elles chacune faire partie d’un seul Dieu ? Le Saint-Esprit est un Esprit ; ceci est facile à comprendre pour l’homme. Si c’est le cas, alors le Père est encore plus qu’un Esprit. Il n’est jamais descendu sur terre et n’est jamais devenu chair ; Il est l’Éternel Dieu dans le cœur de l’homme, et Il est certainement aussi un Esprit. Alors quelle est la relation qui existe entre Lui et le Saint-Esprit ? Est-ce la relation entre le Père et le Fils ? Ou est-ce la relation entre le Saint-Esprit et l’Esprit du Père ? La substance de chaque Esprit est-elle la même ? Ou le Saint-Esprit est-Il un instrument du Père ? Comment peut-on expliquer cela ? Alors quelle est la relation qui existe entre le Fils et le Saint-Esprit ? Est-ce une relation entre deux Esprits ou la relation entre un homme et un Esprit ? Ce sont toutes des questions qui n’ont aucune explication ! S’Ils sont tous un seul Esprit, alors il ne peut être question de trois personnes, car Ils sont possédés par un seul Esprit. S’Ils étaient des personnes distinctes, alors Leurs Esprits varieraient en force, et Ils ne pourraient tout simplement pas être un seul Esprit. Ce concept du Père, du Fils et du Saint-Esprit est des plus absurdes ! Ceci divise Dieu et L’éclate en trois personnes, chacune avec un statut et un Esprit ; comment donc peut-Il encore être un seul Esprit et un seul Dieu ? Dites-Moi, les cieux et la terre, et toutes choses en qui s’y trouvent ont-ils été créés par le Père, le Fils ou le Saint-Esprit ? Certains disent qu’Ils les ont créés tous ensemble. Alors qui a racheté l’humanité ? Était-ce le Saint-Esprit, le Fils ou le Père ? Certains disent que c’était le Fils qui a racheté l’humanité. Alors qui est le Fils en substance ? N’est-Il pas l’incarnation de l’Esprit de Dieu ? L’incarnation appelle Dieu au ciel par le nom du Père du point de vue d’un homme créé. N’es-tu pas conscient du fait que Jésus est né de la conception à travers le Saint-Esprit ? En Lui il y a le Saint-Esprit ; quel que soit ce que tu dis, Il ne fait toujours qu’un avec Dieu au ciel, car Il est l’incarnation de l’Esprit de Dieu. Cette idée du Fils est simplement fausse. C’est un Esprit qui réalise toute l’œuvre ; ce n’est que Dieu Lui-même, c’est-à-dire, l’Esprit de Dieu qui accomplit Son œuvre. Qui est l’Esprit de Dieu ? N’est-ce pas le Saint-Esprit ? N’est-ce pas le Saint-Esprit qui travaille en Jésus ? Si l’œuvre n’avait pas été réalisée par le Saint-Esprit (c’est-à-dire l’Esprit de Dieu), alors Son œuvre pourrait-elle représenter Dieu Lui-même ?
Extrait de « La Trinité existe-elle ? », La Parole apparaît dans la chair
Ce que l’homme vit d’abord, c’était le Saint-Esprit descendant comme une colombe sur Jésus ; ce n’était pas exclusivement l’Esprit de Jésus, mais plutôt le Saint-Esprit. Alors l’Esprit de Jésus peut-Il être séparé du Saint-Esprit ? Si Jésus est Jésus, le Fils, et le Saint-Esprit est le Saint-Esprit, alors comment pourraient-Ils être un ? L’œuvre n’aurait pas été réalisée dans ces conditions. L’Esprit en Jésus, l’Esprit qui est au ciel et l’Esprit de l’Éternel ne font qu’un. On peut L’appeler le Saint-Esprit, l’Esprit de Dieu, l’Esprit à septuple gloire, et aussi l’Esprit universel. L’Esprit de Dieu seul peut accomplir une telle œuvre immense. Il est capable de créer le monde et de le détruire, en causant une inondation sur la terre, Il peut racheter toute l’humanité, et plus encore, conquérir et détruire toute l’humanité. Cette œuvre est réalisée par Dieu Lui-même et ne peut pas avoir été accomplie par aucune autre personne que Dieu à Sa place. Son Esprit peut être appelé par le nom de l’Éternel et Jésus, ainsi que le Tout-Puissant. Il est le Seigneur, et le Christ. Il peut également devenir le Fils de l’homme. Il est dans les cieux et aussi sur la terre ; Il est au-dessus des univers et parmi la multitude. Il est le seul Maître des cieux et de la terre ! Depuis le temps de la création jusqu’à maintenant, cette œuvre a été réalisée par l’Esprit de Dieu Lui-même. Que ce soit l’œuvre dans les cieux ou dans la chair, tout est accompli par Son propre Esprit. Toutes les créatures, que ce soit dans le ciel ou sur la terre, sont dans Sa toute-puissante paume de main ; tout ceci est l’œuvre de Dieu Lui-même et ne peut être accompli par personne d’autre que Lui. Dans les cieux, Il est l’Esprit, mais aussi Dieu Lui-même ; parmi les hommes, Il est chair mais reste Dieu Lui-même. Bien qu’Il puisse être appelé par des centaines de milliers de noms, Il est toujours Lui-même, et toute l’œuvre[a] est l’expression directe de Son Esprit. La rédemption de toute l’humanité par Sa crucifixion a été l’œuvre directe de Son Esprit, de même que la proclamation à toutes les nations et à toutes les terres durant les derniers jours. En tout temps, Dieu peut seulement être appelé le Tout-Puissant et le vrai Dieu, le Dieu tout-en-tout. Les personnes distinctes n’existent pas, encore moins cette idée du Père, du Fils et du Saint-Esprit ! Il n’y a qu’un seul Dieu au ciel et sur terre !
Extrait de « La Trinité existe-elle ? », La Parole apparaît dans la chair
Note de bas de page :
[a] Le texte original ne mentionne pas « le travail ».
Source : L'Église de Dieu Tout-Puissant
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10 Raisons pour lesquelles Vous devriez Sortir de Votre Zone de Confort.
Le soi-disant “zone de confort” est le géographique et le niveau émotionnel, peu importe si c’est bon ou mauvais, il vous fait vous sentir en sécurité, et pour éviter le risque de préjudice. Vous allez travailler, et pour survivre, mais pas la pleine mesure de leurs capacités.
Sortir de votre zone de confort feront de vous rapprocher de vos objectifs, qu’ils soient physiques, mentaux ou émotionnels condition. Nos habitudes et attitudes peuvent être des obstacles majeurs à être capable de modifier son mode de vie, avoir une meilleure santé, avoir une forme physique et avoir plus d’énergie.
Si vous osez rêver.
Vous devriez commencer par la lecture de cet article avec cette phrase à l’esprit, parce qu’il représente l’objectif le plus important que vous devriez faire pour sortir de votre zone de confort.
Ici, vous trouverez une multitude de raisons pour lesquelles vous devriez sortir de sa « zone de confort ». Cependant, il est clair que beaucoup de gens sont à pied à travers la vie sur “pilote automatique”, en donnant leurs propres rêves et de passions, de les garder à l’aise et en sécurité.
La majorité des gens vont rester pendant un long temps, plutôt que de chercher à entreprendre et à poursuivre leurs rêves, comme la rédaction d’un livre, et d’ouvrir votre propre entreprise, etc. La majorité ne va pas chercher à adopter un mode de vie sain, en pratiquant un sport, essayer de nouvelles recettes,…
La capacité à prendre des risques dans la vie, est un élément clé dans la détermination du montant de la réussite et de bonheur que vous ferez l’expérience.
Voici le top 10 raisons de sortir de votre zone de confort.
Voir aussi:
1 – Vous pouvez venir avec de nouvelles croyances
Beaucoup une fois, les limites de la zone de confort des gens, ils sont tout simplement limité à ce que vous en pensez, ou sont capables de réaliser. Si il va croire que vous n’avez pas la génétique à être maigre, il sera difficile de garder en place avec un mode de vie sain, avec l’objectif de perdre du poids. Si elle croit que la seule façon qu’ils peuvent payer leurs factures en travaillant pour quelqu’un d’autre et de recevoir un salaire fixe, il sera difficile de démarrer une entreprise, et vous comptez sur votre propre capacité à déterminer le montant d’argent que vous pouvez faire.
2 – renforcer l’estime de soi et la confiance
Une fois que vous êtes en mesure de construire vos nouvelles croyances et vous aurez le sentiment de sa force et de capacité, vous allez commencer à apprécier votre propre potentiel, et qui a toujours été à l’intérieur de vous. Il n’a pas d’importance qui vous êtes, où vous êtes, ou comment vieux, une fois que vous pouvez prouver à vous-même qu’il y a quelque chose de plus que la peur.
Peu à peu, vous remarquerez que vous êtes en mesure de le faire, il ne pourrait jamais imaginer.
3 – Apprendre à surmonter leurs épreuves.
Une fois que vous êtes en mesure de sortir de votre zone de confort, inévitablement, vous serez confronté à une zone de défi. Ici, vous vous sentirez libre d’une incroyable bataille contre soi-même, à l’encontre de votre esprit, à l’encontre de votre inconfort, et de vous ouvrir à une expérience d’apprentissage qui ne finit jamais.
La chose la plus précieuse dans tout cela, c’est que vous êtes en mesure de surmonter l’adversité.
4 – vous aurez moins de craintes
La peur de l’inconnu est toujours la plus grande crainte, et de ce fait, l’incertitude est de l’autre côté de votre zone de confort, et il est parfois débilitante.
Une fois que vous êtes en mesure de sortir de votre zone de confort, et de voir les possibilités de croissance personnelle et de vivre à l’extérieur, n’est plus peur du chaos, mais vous devez apprendre à l’aimer.
5 – pour Trouver de nouvelles possibilités dans
À l’intérieur de votre zone de confort, vous pouvez seulement voir les opportunités immédiates qui se trouvent en son sein.
Est-il possible pour tout un monde de nouvelles possibilités, mais seulement si vous trouvez que l’inconfort d’être en mesure de voir la quantité de possibilités qu’il offre. Vous ne savez jamais ce que vous pourriez être son écrasement, de sorte que la meilleure option est d’éprouver autant de choses que possible.
6 – le nouveau partenariat, et vous aurez de nouvelles relations
Plusieurs fois, leurs propres croyances, mais ceux qui vivent en leur sein, ce qui limite leur capacité à faire des liens avec des personnes en particulier ou les types de personnes.
Par exemple, si vous croyez que toutes les personnes d’une certaine race, ils sont incultes, ou des pauvres, il est difficile de voir que beaucoup de gens dans cette course sont vraiment bon, et avec les meilleures intentions du monde, et avec qui ils peuvent former des connexions sans problème. N’acceptez pas de vos croyances en ce qui concerne d’autres personnes. Le défi à relever.
7 – Ouvrez votre esprit à l’apprentissage de nouvelles choses
Une chose est sûre, lorsque vous devez quitter votre zone de confort et aller dans l’inconnu, ils sont susceptibles d’apprendre une chose ou deux. Même si c’est difficile à voir ou à sentir la peur, et vous allez apprendre quelque chose de nouveau, et c’est un nouveau morceau de l’information ou des connaissances qui vous seront utiles à un certain moment dans leur vie.
Certaines des choses qui pourraient être plus utiles que d’autres, mais gardez à l’esprit, la connaissance est le pouvoir, la connaissance vient de l’expérience et de la compréhension.
8 – être Capable d’identifier ses forces et de ses faiblesses en tant que personne
Plus vous mettez-vous au défi et de sortir de votre zone de confort, le plus vous apprenez sur vous-même.
Au fil du temps, vous commencerez à vous rendre compte de ce que sont vos forces et vos faiblesses, ce qui doit être amélioré.
Vous devriez vous concentrer sur la construction de leurs points forts et à développer leurs faiblesses. Vous devez apprendre à vous regarder comme un projet à long terme, et en essayant de me préparer pour la journée, vous serez leur plus grande épreuve.
9 – vous allez Apprendre à parler n’est pas le plus facile, mais la meilleure façon de
Dans la majorité des cas, la bonne réponse ou la réponse n’est pas aussi facile. Il est plus facile de manger un hamburger avec du fromage qui ira à votre domicile et en faire une salade. Mais il y a plus d’avantages à la préparation de la salade.
Habituellement, la meilleure option n’est pas la plus difficile, et de sortir de votre zone de confort, il vous aidera à apprendre à propos de la valeur de l’expérience et de la compréhension.
10 – il Encourager les autres à suivre leurs rêves
Peut-être l’un des plus grands effets en dehors de votre zone de confort est la mesure dans laquelle courage, et essayer des choses nouvelles et excitantes de la vie, d’autres personnes se sentent encouragés à faire la même chose.
Lorsque vous suivez votre cœur et de recherche pour la croissance personnelle de chaque jour, d’inspirer les autres, et d’apprendre comment devenir un chef de file.
Votre zone de confort est une illusion que vous avez créé pour vous garder en sécurité, mais la vie n’est pas à propos de la sécurité: il est à vivre, à rire, à aimer, à rire et à apprendre.
Par conséquent, le but de la vie est de trouver la signification de celui-ci, et une fois que vous le trouvez, tout le reste sera facile, mais vous n’aurez jamais à trouver votre chemin dans la zone de confort, le tout dans le confort de votre lit et à se cacher dans son bureau pendant la journée.
Libérez le “fou”, qui est en vous, et vous venez chercher le meilleur de leur capacité.
Avez-vous déjà remarqué comment il est à l’intérieur de votre zone de confort? Quels sont certains de vos plus grandes peurs? Quelles sont les premières étapes pour vous donner de sortir de votre zone de confort? S’il vous plaît commentaire ci-dessous!
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Chapitre 12 : À la lueur des torches et Épilogue
Au fait, si des catholiques sont offensés par mes propos, vous pouvez vous consoler en sachant que je me suis renversé de l’eau bouillante sur le pied juste après le commentaire du chapitre 11. Justice divine sans doute.
Et sur ce, clôturons ce livre propagande pour scouts catholiques homosexuels refoulés…
Nous retrouvons Louis auprès d’Éric qui a pris un sacré coup sur la tête. Et comme la vierge Marie elle-même lui dit qu’il a merdé, il explique qu’il sait où est Christian et donne à Louis les indications pour le retrouver. Louis ne veut pas laisser le blessé seul mais Éric, qui se sent bien coupable, décide que sa vie n’a plus d’importance et le prie de partir pour sauver son ami amant ?
Ne t’inquiète pas : Christian sera retrouvé et tu dormiras ce soir auprès de lui.
Si cette phrase n’est pas littérale, c’est qu’il s’agit d’une métonymie.
Mais qu’est-ce qu’une métonymie, professeur lapin ?
C’est lorsqu’on remplace un objet ou une idée par un autre terme qui s’y apparente, par glissement de sens.
Par exemple : boire la mort pour boire du poison.
Dans ce cas, il s’agit d’un glissement de sens entre l’effet et la cause. Et quand dort-on auprès de quelqu’un ? Après le sexe, bien sûr !
Je savais qu’un jour je regretterai d’avoir fait des études littéraires…
En tout cas Louis arrête une voiture et Éric, blessé, est amené chez le prêtre pour se faire soigner. Toute blague vaseuse serait de trop ici. J’en ai déjà fait bien assez.
Il parle d’une voix très calme, toute fraîche et limpide, d’une voix de petite garçon qui a eu un gros chagrin qui s’apaise. Près de lui, le père encourage et console.
— Ton pauvre papa ignorait en quoi consistait la mission qu’il te confiait. S’il l’avait su, il n’y aurait jamais consenti.
Ou alors c’était un gros connard qui a voulu utiliser son fils pour satisfaire des fins purement égoïste de vengeance familiale ? Parce que, s’il ne connaissait pas la mission, pourquoi lui aurait-il donné le bracelet en précisant qu’il avait un devoir à remplir ? Pour torturer psychologiquement son fils afin qu’il se demande toute sa vie de quoi était-il question et s’en veule à jamais d’avoir manqué à sa promesse (surtout quand on voit l’importance qu’il accorde aux promesses : il était prêt à laisser mourrir bellâtre quand même !) ?
Non, m’est avis que le papa d’Éric était un sacré fils de Klingon.
— Quand Christian l’apprendra, croyez-vous qu’il m’en voudra ?
Oui ? Je veux dire : ce n’est pas comme si tu avais essayé de le tuer ?
— Sans aucun doute. Cela ne fera que renforcer votre amitié.
Oh mais bien sûr ! Vous raconterez ça à vos parents, ça les fera bien rire. Et après, vous la raconterez à votre mariage, ça fera une petite anecdote !
Du coup, Jean-Marie Lepen n’est peut-être pas un si gros con : les catho d’extrème droite considèrent peut-être simplement les évènements sur une autre échelle de gravité que la moyenne des gens normaux.
(Si, il l’est…)
Donc, les scouts partent en mission de sauvetage. Les chefs racontent un nouveau bobard pour endormir l’inquiétude de la Troupe.
Les autres acceptèrent l’explication comme devait l’accepter la Troupe quelques heures plus tard, avec étonnement et bonne foi.
Tous cons je vous dis.
Pendant ce temps, du côté de Christian :
“ Ah ! Je vois la lumière ! Il était sacrément long ce tunnel.”
Bref…
Les scouts finissent pas trouver le passage secret : Christian avait semé son mouchoir en chemin, sous la porte d’une des entrée secrète. Ils auraient pu aller voir plus tôt tout de même.
Les scouts trouvent les salles visitées plus tôt, dont la salle des seigneurs et la salle de torture.
“ Eh Michel ! Je sais où on fera le prochain voyage de première classe !”
Ils arrivent à la chapelle mais la porte est fermée et aucun ne sait comment l’ouvrir.
— Si on l’enfonçait ?
— Avec quoi ?
— Avec nos épaules tiens ! En se précipitant tous ensemble…
C’est une mauvaise idée.
Ils le tentèrent sans succès : ils se firent seulement très mal.
Tiens donc…
Ils proposent de desceller la porte, d’y aller à la poutre ou au chalumeau, mais Louis, qui est certainement le plus intelligent des scouts et dont le QI dépasse au moins l’indice de la barre des 100 (du jamais vu je dis), proposer de chercher l’autre entrée. Il laisse un dénommé Alain sur place, mais ils n’ont pas tourné à l’angle de la pièce que celui-ci pousse un cri. Lorsqu’ils reviennent sur leurs pas, les scouts constate que Alain a disparu.
Du côté d’Éric…
“Mon Père, mes supers sens de sirène me disent qu’ils ont des ennuis.
— Mais non, tu te fais des idées mon petit.”
Du côté des scouts…
“— Alain a disparu ! Alain a disparu ! Ils nous tueront tous jusqu’au dernier, c’est la malédiction ! Fuyez pour vos vie !
— Du calme Charles-Marie-Edouard ! si ça se trouve il nous fait une farce.”
Du côté de Christian :
“ Mais, c’est vous, Dieu ? Excusez-moi si je suis un peu troublé, c’est la première fois que je vois une femme. Il y en a qui vont être sacrément surpris quand ils passeront là haut !”
Le corps de Christian, lui, est avec le scout qui est tombé dans le même piège. Il constate avec soulagement que son camarade respire. Il allume la torche avec les allumettes de Christian et observe ce qui l’entoure, mais ne trouve rien d’utile pour remonter. Pour se faire entendre des autres, il prend une grosse pierre et frappe de toutes ces forces contre le mur.
Louis, qui était parti chercher la sortie, entend le bruit que produit Alain et ils communiquent en morse.
“— Wesh bien ou bien ?
— Tranquille et toi ?
— Nikel, y’a ton frangin avec moi. Il a fait un bad trip et il a l’air stone. Sinon on est coffré.”
Il lui explique comment actionner le mécanisme qui l’a fait tomber dans le piège et les scouts remontent Alain et Christian grâce à des cordes (non je ne ferai pas de commentaires). Tout le monde ramène Christian auprès d’Éric, ce qui n’est pas la première chose que j’aurai faite au vue de ce qui s’est passé.
Évidement, son premier réflexe est de lui sauter dessus.
— Ne bouge pas, Éric ! Chut, tais-toi, dort !
“Tu vas pioncer, oui ? Je vais te faire dormir moi !”
Mais comme Éric n’arrive pas à dormir, on nous précise que…
Et, pour qu’il pût mieux voir, on effeuilla trois roses qui s’échappaient d’un pot d’étain.
L’envie de commenter me démange, mais ce n’est pas vraiment drôle quand l’auteur se ne donne même pas la peine de le cacher.
Et enfin, l’épilogue. Vite, que je sois délivré de ce tas de non-sens !
Et c’est le retour des scouts chez eux !
Plus hâlés, plus beaux, plus joyeux qu’au départ, ils savent qu’ils ont vécu des aventures merveilleuses, à tout jamais enfouies.
Mais pas aussi enfouie qu’aurait pu l’être Christian si Éric l’avait laissé crever !
“ Alors, le camp scout, c’était bien, chéri ?
— Oh, c’était génial, on a couru dans les bois, on a récolté des crottes d’écureuils et on a coffré un type pour non assistance à personne en danger !”
Il est entendu qu’Éric doit être invité chez les parents de Christian, qui lui a pardonné parce que … ?
Combien de fois faudra-t-il te répéter qu’à ta place, j’aurai agit de la même façon ?
… c’est un crétin fini et certainement un aussi gros con qu’Éric. Qui se ressemble s’assemble.
En tout cas il est question de le présenter à la belle famille. Je me demande comment il vont prendre sa tentative de meurtre…
Ne raconte pas d’histoire ! Ce qui s’est passé, c’est notre affaire à nous ; ça ne regarde pas les parents.
Ça regarde surtout la police, mais ce qui s’est passé chez les scouts reste chez les scouts. Après tout, les d’Aucourt ne savent surement pas que leur fils s’est fait sauté dessus par tous le régiment.
Non je n’exagère pas. J’ai une preuve. Voyez par vous même :
(Tirée de la première version illustrée, toujours par Pierre Joubert. Ne me demandez pas le contexte s’il vous plait. J’essaie oublier…)
Or, devant le train, un homme en noir attend Christian. Ce n’est pas un Men in black venu récupérer la pythie-sirène d'ascendance Klingon qui a abusé de son séjour sur Terre. Non. C’est un garde du corps qui vient chercher le Prince. En effet, l’oncle de celui-ci est au plus mal.
“ Certainement à cause de la révolte paysanne. Excuse-moi, Christian. Il faut que j’aille poutrer ces prolétaires pour leur montrer qui est le monarque de droit divin ! On se fera une bouffe quand j’en aurai terminé.”
Tous les scouts vont lui dire au revoir tandis qu’il prend l’avion pour Narnia. Éric ne pleure pas…
Mais il n’a pas dormi de la nuit…
Trop occupé à penser à Christian je suppose.
Du côté de bellâtre…
— Qu’on ne touche pas à mon sac, avait dit Christian, je le déferai moi-même.
Il n’avait certainement pas envie que ses parents tombent sur sa réserve de capotes.
Or, dans son sac, il est bien surpris de découvrir un paquet qui contient le bracelet brisé d’Éric. Une demande en mariage je suppose ?
C’était le dernier cadeau d’Éric. D’Éric qu’il allait revoir avant l’hiver.
Pour lui tenir chaud dans les steppes de Swedenborg, je suppose.
Mais il ne le savait pas. Et son cœur se serra, en songeant que son frère était loin.
Et c’est sur ce magnifique “no homo” que s’achève Le Bracelet Vermeil.
Je tiens à préciser une chose : quand j’ai commencé ce livre, c’était avant tout pour commenter les illustrations de Pierre Joubert et faire des parallèles avec le texte, mais même si j’espérais trouver des sous-entendus amusants, je ne m’étais pas figuré que le livre serait encore pire que ses dessins ! Honnêtement, Joubert s’est retenu, parce que certaines scènes auraient été sacrément étranges à illustrer !
J’ai très clairement exagéré certaines choses, mais le texte est le texte : je n’ai modifiée aucune des phrases en gras que j’ai citées. Blague à part, je pense qu’il faudrait avoir le cran de l’adapter un jour en assumant qu’il s’agissait de l’histoire d’un premier amour entre deux garçons. Ça pourrait faire un bon film, pour peu qu’on modifie des éléments de scénarios.
Parce que le premier tome de la Saga du Prince Éric a une histoire est très bancale. La relation fusionnelle entre les deux garçons sert la tragédie cornélienne et est justifiée par le destin, mais on ne comprend pas la réaction d’Éric qui est tout bonnement insensées. Au Moyen-Âge, passe encore. De nos jour, non.
Pourtant, il n’aurait pas suffit de grand chose pour rendre le tout plus cohérent. Si la comtesse, par exemple, avait été liée à Éric et l’avait forcé à honorer son serment, on aurait pu comprendre que, d’une manière ou d’une autre, il n’aurait pas été en état de dire la vérité et de sauver Christian. Cela aurait aussi pu justifier que sa famille l’ait envoyé dans ce camp de scouts-ci plutôt qu’un autre, sachant qu’il serait en contact avec quelqu’un qui connaissait toute l’histoire. Le récit est plein de coïncidences trop faciles qui auraient pu être facilement évitées. Il s’en trouve fragilisé. C’est bien dommage.
Mais en soit, le livre est bien écrit, pas dénué d’humour, le rythme est bon, les personnages sont très attachants et malgré les délires religieux et scoutiques, c’est assez plaisant à lire. Un petit côté vieille France assez sympathique et ceux qui aiment la nature apprécieront le cadre. Je pense que c’est un livre qui peut encore plaire malgré plusieurs éléments datés.
ET maintenant je vais le mettre dans ma bibliothèque personnelle du collège destinée aux élèves. Puis j’attendrai qu’ils l’empruntent et que les parents catholiques intégristes portent plainte pour propagande homosexuelle.
J’ai hâte de m’expliquer devant le juge…
Mais avant ça, un petit extrait de la préface du prochain tome :
Jef vous sera certainement très sympathique. Il est le page préféré d’Éric, son aîné de huit jours. Orphelin comme lui, il l’aime plus que tout au monde et donnerait volontiers sa vie pour son prince. Léger comme une sylphe et plus adroit que Bayard, il n’a qu’un défaut : il ne parle pas français !
Triangle amoureux et nationalisme ? Merveilleux ! Et ce n’est même pas mon anniversaire !
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PEOPLE ARE BETTER THAN PEOPLE : this is the end (pt 1)
Jennie Zakrzewski, 38 ans, Metz.
Méchant flic visionnaire chez Specific Recordings.
A choisi No Cities To Love de SLEATER KINNEY.
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Il y a quelques années, peut-être une dizaine, peut-être moins, je ne sais plus si je l’ai lu ou entendu, mais quelqu’un a dit, ou écrit donc (oh putain, ça commence bien), que la musique de THE WHO était de celles qui étaient capables de vous faire prendre votre vélo pour une Harley. J’aime profondément THE WHO, je comprends tout à fait ce que cette illustre mais oubliée personne a voulu dire, mais je ne fais pas de vélo. Ça fait longtemps que ne fais plus rien qui a un rapport avec des roues, d’ailleurs. Même de manière virtuelle. Par exemple, je suis une brêle à Mario Kart : je frôle tous les murs, je tombe dans tous les trous, je finis par attendre au milieu du circuit que ça se passe. Et donc, le truc du BMX qui se transforme en grosse cylindrée (j’ai arrêté de faire du vélo bien avant de commencer à écouter THE WHO), c’est un sentiment que je n’avais encore jamais vraiment éprouvé. J’avais déjà été attristée, enjouée, amusée, révoltée, perplexe ou carrément déprimée, mais jamais galvanisée. Ou en tout cas, jusqu’à récemment.
Ça a été le grand amour à la première écoute avec le No Cities To Love de SLEATER-KINNEY. Je n’ai pas grand-chose à expliquer, je le trouve juste de bout en bout parfait. Du coup, je l’écoute beaucoup. Vraiment beaucoup. Et quand j’aime vraiment, vient un moment où j’ai besoin d’écouter la musique au casque (vous le savez peut-être déjà, j’en ai déjà parlé quelque part sur ce site par le passé). C’est presque physique comme truc… Et si je ne le fais pas, ça va pas, je ne pense plus qu’à ça. Sauf que, les rares occasions que j’ai aujourd’hui d’écouter de la musique au casque, globalement, c’est deux fois dix minutes quand j’interviens à l’extérieur dans le cadre de mon boulot (entre trois et cinq fois par mois, gros max) et c’est surtout… quand je vais faire les courses. Et donc, la première fois que j’ai écouté No Cities To Love au casque, c’était pour aller acheter de la crème pour le café et des essuie-tout au Simply Market. Dès les premières mesures, à peine arrivée sur le trottoir devant mon immeuble, j’avais compris : Sleater-Kinney, ça allait être mon THE WHO effect à moi ; de la musique qui donne de l’assurance, du pouvoir, de la musique capable de transformer les filles banales en guerrières ou en sorcières. La preuve ? Dès le deuxième morceau, j’arrêtais de marcher voûtée ; avant la fin de l’album, je me faisais galamment draguouiller au rayon produits laitiers. Moi, draguée au Simply. Et par un mec pas trop mal en plus ! Et aucune vieille n’a essayé de me doubler à la caisse. Ni à la boulangerie du quartier. Coïncidence ? Je ne pense pas…
Croyez-moi sur parole, pour X raisons (oh, ça va, on n’est pas là pour faire mon analyse), je ne suis pas la fille que les inconnus abordent au super marché ou dans la rue. D’ailleurs, d’habitude, j’attire plutôt les mecs dont je pourrais être la mère, les vieux qui pourraient être mon père et — un peu comme nous toutes pourvues de deux bras, une tête, des seins et deux jambes — les freaks. Alors, évidemment, il m’est déjà arrivé quelques fois d’être timidement abordée par de gentils garçons à qui j’avais été préalablement présentée. Et je dois ces épaules redressées et cette impression de pouvoir tout conquérir conférées par SLEATER-KINNEY au casque à l’un d’entre eux ; je veux — vous l’avez compris — parler du dévoué maître de ces lieux. La première chose qu’il m’a dite après des semaines de « Salut » et de « Ça va ?/! », ça a été : « Ah tiens, on dirait du BE YOUR OWN PET ». Ce à quoi j’ai répondu : « Pas possible. Y a pas de clavier dans BE YOUR OWN PET ». Puis on s’est mis à discuter des concerts qu’on allait chacun voir pendant l’été. Notre destin était scellé. Et il n’a jamais arrêté de chercher à me dénicher de nouveaux groupes qui me fileraient le frisson depuis ; il a déjà essuyé un nombre considérable de « j’aime pas », mais il n’a jamais baissé les bras.
Vous riez peut-être (enfin, j’espère ; c’est toujours mieux qu’un facepalm, hein), mais par le biais de ses posts matinaux, il a certainement dû vous en faire éprouver à vous aussi, des émotions envahissantes, grisantes, exaltantes, capables de nous bouleverser une heure, un jour ou une vie et qu’on n’aurait peut-être jamais pu ressentir par d’autres biais que par le son, nous, les éponges affectives auditives, les maniaques de la musique, les lecteurs de blogs exigeants. C’est sans aucun doute une grande qualité que de savoir sans arrêt s’enthousiasmer pour des nouveautés, mais alimenter un site avec cette ponctualité et cette ferveur, c’est surtout du boulot. Beaucoup de boulot. Et j’aimerais profiter de cette tribune pour lui tirer mon chapeau. Et vous faire remarquer par une pirouette stylistique de piètre qualité qu’on arrive à la fin de cette chronique sans avoir une seule fois évoqué le disque en tant qu’objet…
Peut-être parce que derrière le titre un rien prétentieux (entre nous, j’ai toujours douté que ce soit véritablement ironique) se cache en fait l’atroce vérité ? Ben ouais, en vrai, les gens, c’est mille fois mieux que les disques ! Alors, bien entendu, j’écoute aussi No Cities To Love en vinyle, mais moi, par exemple et entre autres, sur une île déserte, j’emmènerais pas mon album favori de je-sais-pas-qui, j’emmènerais Florian Schall. Ça me paraît juste é-vi-dent. Et en plus, il a une belle voix, ça peut faire double emploi. Bon, on n’a pas vraiment parlé de la musique non plus, vous me direz… Mais la musique, c’est comme ça : c’est magique, ça ne s’explique pas…
Allez, il était temps que ça se termine, cette connerie de blog sur les vinyles.
Et maintenant, vite, j’ai hâte de voir la suite.
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Un nouvel article a été publié sur http://www.rollingstone.fr/josh-homme-les-confessions-du-diable-roux/
Josh Homme : les confessions du diable roux
Josh Homme, l’un des derniers piliers du rock, vient de sortir un nouvel album formidable – et a beaucoup de choses à dire
N’essayez même pas de dire à Joshua Homme que le rock est mort. Vraiment. Ne le faites pas. Parce que dans le cas contraire, il pensera sincèrement à vous frapper, et cela vous ferait mal. Il est, à 44 ans, toujours aussi grand, intense et roux (d’une façon plus sauvage qu’Ed Sheeran, entendons-nous). Il semblerait qu’un homme peu sage – « quelqu’un de haut placé » – ait déjà prononcé ces mots devant lui. C’était il y a quelques années, avant que le groupe prodige de Homme, les Queens of the Stone Age ne quittent Insterscope Records pour les indés Matador (qui ont sorti le 25 août, l’album Villains, délicieusement groovy, produit par Mark Ronson).
Un peu avant 11 heures du matin, un lundi début juillet, Josh Homme prend une gorgée de tequila haut-de-gamme dans les locaux principaux de sa société de Los Angeles, et se remémore l’altercation avec Interscope sans cacher son plaisir. « J’étais un peu en mode « Vous croyez probablement que rien ne va jamais vous arriver, vous pouvez dire tout ce que vous voulez. Mais laissez-moi vous dire une chose. Tout peut changer en l’espace d’une seconde, en fonction de ce que vous direz par la suite. Ce n’est pas fou ça ? »
Fou ou pas, Josh Homme vous fait assez bien comprendre les choses quand vous faites environ un mètre de moins que lui. C’est d’ailleurs un peu comme ça qu’il m’avait déjà persuadé de le rejoindre pour un verre matinal (ou plutôt trois) – cette tequila est tellement douce, affirme-t-il, que c’est presque comme manger un petit-déjeuner. Homme est bon quand il s’agit de faire les choses à sa façon. Et si cela induit de se débarrasser de quelques compagnons de groupes – ou plutôt, de la plupart de ses compagnons de groupe, tout du moins pendant les premières années – ça ne le dérange pas. « J’ai viré mon meilleur ami, » dit-il en faisant référence au bassiste des Queens of the Stone Age Nick Oliveri, qui avait aussi joué aux côtés de Homme dans le groupe Kyuss. « Est-ce que vous pourriez le faire ? C’est dur. Mais pour préserver mon groupe, je dois parfois sacrifier d’autres choses. De temps en temps, vous avez un talent pour faire quelque chose que vous n’aimez pas faire. J’ai un talent à dire des choses qui sont dures à dire. »
Je donne naissance à des petits monstres qui vont terroriser la normalité
Il fait une pause. « Je m’égare, » remarque-t-il « parce que je suis encore très bourré d’hier. » Hier se tenait l’avant-première d’American Valhalla, un documentaire sur le cheminement de Homme jusqu’à la production de l’album génial d’Iggy Pop, sorti en 2016, Post Pop Depression (pour faire court : Iggy Pop le voulait vraiment avec lui). Mais il n’est quand même pas aussi mal ? « Je sais quand j’ai la gueule de bois. Et là, je peux t’affirmer que je suis en plein dedans. » Mais retour au rock. « Je fais du rock alors même que le rock est supposément mort, parce que nous sommes le groupe parfait pour cette période. L’industrie du disque est morte par contre. Mais le rock se porte bien. La musique aussi. franchement, j’aime bien cette époque. »
Josh Homme a évité toute distraction, réussissant à vivre son existence rock’n’roll sans mourir ni devenir sobre (Olivieri affirme que les paroles les plus célèbres des Queens – « Nicotine, Valium, Vicodin, marijuana, Ecstasy and alcohol/Cocaine » – évoquait en réalité la consommation quotidienne des deux comparses). « Vous ne connaissez pas vos limites tant que vous ne les avez pas franchies, » affirme Josh Homme. « Et puis vous vous adaptez, et vous n’emmerdez personne avec ça… Vous en voulez d’autre ? »
Il a une femme très rock’n’roll – Brody Dalle, des Distillers – et des enfants (« les petites personnes de la maison« ) qu’il élève de la façon la plus rock possible : « Trouvez votre objectif personnel, et mettez toute votre énergie à l’atteindre. En fait, trouvez une vie qui vous convient et ne laissez personne vous l’enlever. Il y a toute une liste de choses à ne pas faire – et on en ajoute tous les jours. Suivez-les seulement si quelqu’un vous regarde. Et ensuite, retournez à votre vie et vivez-la aussi intensément que possible. Je ne pense pas que les gens devraient vous imposer leurs vérités – « Mon visage fait du bruit, fais ce que je dis » Je donne naissance à des petits monstres qui vont terroriser la normalité. »
Voila. Avec Villains, les Queens of the Stone Age ont sorti ce que l’on pourrait certainement appeler l’un de leurs meilleurs albums, que ce soit avec « Fortress » écrit pour la fille de Josh Homme, ou l’énergique « The Way You Used to Do » qui est inspiré par ZZ Top, Cab calloway, Shirley Bassey et les Misfits. « En tout cas ça l’était. Si quoique ce soit avait laissé supposer que je m’inspirais de quelqu’un, je ne l’aurais pas joué. Désormais, je ne m’inquiète plus de rien, mais c’ets vrai que les lois sur le copyright sont vraiment foireuses, à cause de cet abruti de Robin Thicke. Quel con. Maintenant la législation sur les droits d’auteur c’est ‘Si ça a un goût de déjà-vu, vous l’avez volé.’ Merci connard. »
La plupart des albums faits par des musiciens à l’aube de leurs quarante ans sont, sans doute, moins bon. Un fait que Josh Homme trouve irritant. « La moindre des choses, si vous avez la chance d’être dans un groupe et que vous avez fait ça aussi longtemps, c’est de tout donner pour chaque disque. Et c’est vraiment la moindre des choses. »
Josh Homme est à la poursuite de quelque chose dans sa musique – quelque chose qu’il décrit comme le pare-choc arrière d’une voiture qui est à l’horizon, ou bien une « voix intérieure… l’inspiration« . En travaillant avec Iggy Pop, il a eu l’impression d’avoir touché ce pare-choc. Pendant un moment « j’ai arrêté de chercher, » dit-il, « espérant que j’avais enfin réussi. »
Par Brian Hiatt – Traduit et adapté par Louise-Camille Bouttier
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L’alcool c’est PAS de l’eau. Oh que non, je vais vous raconter deux anecdotes de ma vie qui sont pas super marrantes. J’en rigole maintenant mais sur le coup pas du tout et le lendemain non plus. L’alcool c’est dangereux surtout quand on est jeune, quand on veux tester ses limites. On est pas conscient de tout ce qu’on fait, ça peut être grave. Buvez avec modération comme dirait la télé ! 1 ère anecdote : Je devais avoir 18 ans j’étais à la fac, une copine fête son anniversaire chez elle. Je retrouve plusieurs amis dans la soirée, certains que j’avais arrêter de côtoyer. On fait des jeux d’alcools pour s’amuser, pour être ensemble. Évidement je perds je bois ! Souvent .. Les jeux se finissent et je me retrouve dans la cuisine avec 2 amies a moi dont une ou l’on s’est pas vue depuis un moment, sous l’effet de l’alcool je lui dis que je l’aime, que c’est une super pote ect. C’est mignon, pour fêter ça on décide de prendre un shot ! A partir de shot c’est devenu noir. (Ce que je vais vous raconter à partir de ce moment m’a été raconter après coup ou alors j’ai des souvenirs très flous car c’est un peu le trou noir). Je m’écroule contre le frigo, j’ai pas assez éponger comme on dit du coup l’alcool est trop fort. On me met dans le lit, je vomis, j’arrête pas de vomir. On me met dans la douche sous l’eau froide pour que je reprenne un peu mes esprits mais non, je ne suis pas consciente, de rien. J’ouvre les yeux que parfois et je retombe aussi tôt dans le noir. Mes amis appellent un médecin, il ne veux pas venir. Ils appellent donc l’ambulance, on me transporte dans l’ambulance. On me demande mon âge et mon prénom je dis mon prénom et je me trompe sur mon âge. J’entend les sirènes de l’ambulance. Puis plus rien. Je me réveil quelques heures plus tard, je me retrouve dans un lit que je ne connais pas, un endroit que je ne connais pas. Je me demande ce qu’il m’arrive. Puis je percute j’ai du m’évanouir je crois, je suis à l’hôpital je me rendors. Puis j’ouvre les yeux et je vois mes parents : mes parents me disent : Bravo t’es fière de toi ? Je suis incapable de sortir un mot de ma bouche, incapable de bouger. Je me rendors. Je me réveil encore je vois un médecin il me demande si je me souviens de mon prénom je dis oui, de ma date de naissance je dis oui, je le lui dis. Il me demande comment je me suis retrouvée là .. je ne sais pas. Il me dit vous avez fait un coma éthylique.. vous êtes fière de vous ? Puis je m’endors de nouveau. Encore. Je me réveil une nouvelle fois j’ai à peu près ma tête cette fois ci, j’entends un homme hurler à côté de moi derrière le rideau qui nous sépare. Je porte une blouse et le plus humiliant une couche. J’ai soif, ma tête tourne. J’essaie de regarder l’heure au loin je n’y arrive pas. J’ai envie d’aller aux toilettes, d’où le principe de la couche. Même pas en rêve je me fais dessus. Je décide de me lever, je me lève et là je sens une aiguille me transpercer le bras.. je suis perfusée. Je prend donc la poche de perfusion et j’essaie de trouver des toilettes. Après 15 minutes de recherche j’en trouve enfin. Puis je reviens dans mon lit. Je vois en passant l’heure 5h00 du matin. Puis j’attends dans mon lit. Je me dis que quelqu’un va venir me voir. Personne. Je me demande quand est ce que je vais partir et comment. Est ce que mes parents vont venir me chercher ? J’ai du gâcher la soirée à laquelle j’étais. Je vomis, toutes les 10 minutes dans des sacs. C’est horrible. Puis j’entends la voix de ma mère. Enfin ! Je regarde l’heure : 7h50, une dame vient me donner mes vêtements je ne retrouve que mon pantalon et un tee shirt qui n’est pas à moi. Ma mère me dit que j’ai vomi sur le mien. Je n’ai pas de chaussures. Je quitte l’hôpital sans chaussures, avec du vomis sur mon pantalon, décoiffée. Misérable. On me dit mon taux d’alcoolémie. Je me suis dis ma mère va me déglingué ! Mon père n’en parlons pas. Rien de tout ça … ils ont eu tellement peur pour moi, car oui on peut mourir d’un coma éthylique, on peut aussi perdre la mémoire à cause d’un coma éthylique. C’est grave. Dangereux. Je me suis fais peur à moi même, à ma famille, à mes amis. J’ai tellement des amis géniaux que ces amis continue à me parler, ils font même parti des meilleurs amis que j’ai maintenant. Ils ne m’en ont pas voulu. Et ils m’ont redonner mes chaussures 😂 2eme anecdote : Soirée en appartement avec plusieurs amis, la boite est à quelques mètres. On boit, pas mal. Personnellement je me sentais fatiguée et vu ce qu’il m’était arriver j’y allais molo. Mais mes 3 verres m’ont suffit. On marche jusqu’à la boite. Et à partir du milieu du trajet j’ai plus aucuns souvenirs je me rappel même que je suis rentrée en boite. Je pars aux toilettes et je reviens et là tu as un groupe de filles qui me prend par le bras et qui me disent : viens avec nous. Je les regardent et je me sauve ! Ça m’a fait peur, j’aurai bu un verre de plus ça se trouve je serai partie avec elles. Je retrouve mon groupe d’amis et je demande de boire de l’eau, on me rapporte 3 verres d’eau, je me sens un peu mieux. On décide vers 5h30 de partir de la boite. On se retrouve sur le port on se pose et là une voiture s’arrête au près de moi et mes copines, des garçons nous parlent, nos copains arrivent en courant et on se retrouve mêlée à une embrouille avec d’autres gens qui arrivent ! La police arrive, je vais les voir croyant qu’ils étaient venus pour nous mais non. L’alcool est redescendu très vite. Mais j’ai eu peur, que ça parte plus loin, plus violent ! Sous l’emprise de l’alcool j’étais en incapacité de faire grand chose. Je me rappel avoir pleurer après coup. Cela aurait pu être grave. Si je n’étais pas avec mes amis qui sait ce qui aurait pou m’arriver. Les pertes de mémoires c’est pas top je vous assure. Voilà, je ne suis pas fière de ses deux anecdotes, maintenant quelques années après j’arrive à en rire. Mais sur le moment et sur les jours d’après croyez moi que je me suis remise en question. Quand vous sortez buvez modérément, sortez avec des gens biens il faut que vous ayez confiance en eux. J’ai fais cet article pour montrer le chemin à ne pas suivre. Pour alerter les jeunes sur le désastre de l’alcool. Je vous adore déjà ..
La vie de Pikelo
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Dimanche 1er mars 2020
L’envie d’écrire s’est fait beaucoup sentir ce soir. Ainsi, pendant tout le film de première partie de soirée, je n’ai cessé de penser à mon récit, et les idées de sujets à aborder se faisaient nombreuses, alors que je les notais au fur et à mesure sur le bloc-notes de mon smartphone. Le film en question c’était « Jalouse », sur France 2. C’était ça ou le mauvais blockbuster de TF1, le choix a été vite fait. Et comme toujours, j’ai eu un « crush » sur une actrice du film, n’est-ce pas puéril, à mon âge ? Alors, il faudra que j’aille chercher le nom de cette jolie jeune actrice qui jouait la fille de Karine Viard, de façon à trouver son compte instagram et la suivre…ah, les jolies filles d’instagram, je pourrais vous en parler pendant des heures ! Elles sont souvent actrices, mannequins, parfois ce sont des anonymes, et moi je rêve en parcourant leurs photos tous les jours…
Il y a quelques semaines, mon vieil ami Julien (que je connais depuis 25 ans, ça ne nous rajeunit guère !) a récupéré des vieilles vhs contenant des films amateurs que nous avons tournés il y a plus de 20 ans. Elles datent de la fin des années 90. Cela fait des années que je connais l’existence de ces images et depuis tout ce temps je rêvais régulièrement de revoir ces images. Finalement, Julien a fini par transférer les images de la vhs sur son pc, et me les a envoyées. J’étais excité à l’idée de revoir tout ça, moi qui suis tant nostalgique de cette période de ma vie. Finalement, toutes les images correspondaient à peu près à ce que j’avais en tête dans mes souvenirs. Nous y apparaissons tous les quatre, Julien, son petit frère, mon petit frère et moi-même. Les images en elles même sont assez ridicules, donnez une caméra à des ados et c’est ce genre de résultat que vous obtiendrez probablement. Quant à moi, j’y apparais avec une apparence de grande perche squelettique, et une voix que je ne me connaissais pas, ça devait être au moment de ma mue. On nous voit jouer des scènes qui se veulent humoristiques, et je passe la plupart de mon temps à l’image à essayer d’allumer un pétard, en vain (nous adorions jouer avec des pétards à l’époque). Une autre séquence nous montre dans la chambre de Julien (j’adorais cet endroit qui regorgeait de comics et de mangas) avec la musique de NTM en fond (c’était l’époque de l’album « Suprême NTM »). Cette séquence illustre parfaitement cette période de ma vie !
L’autre jour je réfléchissais et je me demandais pourquoi est ce que j’écris et pourquoi est ce que j’aime être lu, alors que je ne me mets jamais en valeur dans ces récits. Lorsque quelqu’un me lit, il en ressort avec une piètre image de moi-même. Et pourtant, je continue à poster le lien de mon blog, je dois être maso : « venez me lire, découvrez mon quotidien morne et pénétrez dans mon esprit d’adolescent attardé, faites donc ! ». Cette obsession de l’autobiographie me vient d’où ? Je pense que ça me vient de la littérature et de la bande dessinée. J’ai toujours aimé les récits autobiographiques, les anti-héros du quotidien, tout ça. Si je dessinais mieux que ça, j’aurais adoré mettre en image ma vie sur papier, à la manière des blogs bd qui fleurissaient dans les années 2000 et surtout, à la manière de Robert Crumb dont les récits autobiographiques sont pour moi ce qu’il a produit de mieux. Tout ça a fini par m’influencer, c’est certain. Quant à mon désir d’être lu, je crois qu’au fond j’ai l’envie qu’on pénètre dans mon esprit et qu’on en ressorte en me comprenant et en m’acceptant. Peut-être qu’au fond j’ai envie que quelqu’un lise tous ces récits, qu’il voit le chaos qu’est ma vie et qui vienne me sauver… on peut rêver, non ?
Ces derniers jours j’ai eu une phase difficile, j’étais mal pendant deux ou trois jours. Ces histoires de déménagement m’ont encore pas mal tracassé. Et surtout, je ne trouvais pas le courage de dire à ma mère que j’avais envie de partir vivre seul. J’ai fini par lui écrire, via messenger. Elle n’a pas semblé ravie. Et le lendemain, elle m’a dit en face « alors tu ne veux plus vivre avec nous ? » et la façon dont elle m’a dit ça m’a rendu très triste, ça me brise le cœur rien que d’y repenser… Aujourd’hui je ne sais pas ce que je veux, et je ne sais même pas où je serais dans un ou deux mois. Vivement que tout ça soit du passé.
En réfléchissant, j’ai fini par trouver ce qu’il manque vraiment à ma vie, il s’agit de la discipline. Je n’ai aucune discipline. J’écris, mais de façon irrégulière. Chaque fois que je me remets à dessiner j’abandonne au bout de deux séances et alors que je rêve d’écrire plein de chansons, je n’arrive qu’à en pondre deux par an les bonnes années. C’est terrible, parce que je sais que j’ai du potentiel (ne riez pas), si j’étais discipliné, depuis 15 ans j’aurais pu produire de belles choses, améliorer mon dessin et mon songwriting. Je voudrais qu’on me force à travailler tout ça. D’ailleurs, si Lauriane m’a quitté, c’est à cause de ça. Elle en avait marre de me voir rien produire et de me contenter de vivre comme un paresseux. Je lis beaucoup, j’apprends plein de choses tous les jours, mais je produits peu. C’est ça qui me chiffonne. Il faudrait qu’on m’y pousse. Dans cet optique, je crois qu’il faudrait que je m’inscrive à des cours. Si j’avais des cours de dessin, quelques heures par semaine, au moins je serais forcé de produire des choses, de dessiner régulièrement et donc de progresser. C’est aussi pour ça que j’ai posté des annonces pour trouver une partenaire de songwriting, j’ai pensé que si nous étions deux, je serais forcé de produire quelque chose là encore. De la discipline, nom de Dieu, je ne veux pas avoir 40 ans avant d’avoir eu le temps de produire des belles choses ! Il y a quelques années j’ai pas mal fantasmé à l’idée de vivre plusieurs mois dans un monastère, avec juste de quoi écrire, lire et une guitare pour composer, j’en ressortirais avec plein de choses, et puis ce serait romantique, de fuir le monde pour le bien de l’Art ! Mais en vrai, je deviendrais fou si je restais plus de deux heures loin de mon smartphone. Le monastère, ce sera une autre fois…
J’ai songé à l’oulipo, aussi. Vous connaissez ? il s’agit d’un « Ouvroir de littérature potentielle », un groupe de surréalistes qui aimaient se lancer des défis pour créer (je vous invite à vous renseigner à ce propos sur wikipedia). J’ai pensé que ça pouvait être une bonne idée de faire de même avec la musique et l’écriture. M’imposer des contraintes afin de m’aider à être plus créatif. Ainsi, j’ai noté quelques contraintes avec lesquels je vais essayer de composer des chansons. Voici celles auxquelles j’ai pensé pour le moment :
-Composer une chanson sur un piano
-composer une chanson autour d’un riff de guitare
-composer une chanson abstraite/surréaliste
J’espère avoir d’autres idées bientôt !
Aujourd’hui c’est l’anniversaire de Mélissa. Je n’ai pas manqué de le lui souhaiter dès minuit passé, lors de la nuit dernière. J’ai facilement retenu sa date de naissance, un 1er mars ça ne s’oublie pas. Je n’ai jamais parlé de Melissa ici. Pourtant, je pourrais, ça ne lui poserait aucun problème, m’a-t-elle dit, puisqu’avec seulement son prénom elle n’est qu’une anonyme aux yeux de mes lecteurs. Mais je trouve ça un peu délicat de parler de notre relation. C’est une relation assez spéciale que je n’ai pas avec toutes ces autres filles qui me font l’honneur de leur amitié. Avec Mélissa, je dirais que nous avons une relation « érotico-intellectuelle ». Je me demande ce qu’elle va penser de ce terme que j’ai inventé en cherchant longtemps les bons mots. Je pense que ce terme est le bon. Quand un mot n’existe pas, il faut l’inventer ! Mélissa et moi échangeons régulièrement, tous les weekends. Plus les semaines passent et plus j’ai envie de la rencontrer, ce qui sera possible dans seulement plusieurs mois. L’autre fois je lui ai dit que je me sentais chanceux de la connaitre et de recevoir ses faveurs, ce à quoi elle a répondu par un message tellement agréable que je ne l’oublierais pas de sitôt et que par pudeur je ne le retranscrirais pas ici (croyez le ou non mais parfois je suis parfois un peu pudique). Mélissa, attends moi quelques mois, rencontrons nous et laissons nos corps exulter!
Je crois que j’ai abordé tous les sujets que je voulais aborder cette semaine, il est temps de me relire pour corriger les fautes et de poster le récit. A bientôt, chères lectrices (je pense qu’aucun homme ne me lit, et ce n’est pas plus mal comme ça).
Bande son : Brel, Infiniment
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Comment inviter une fille en utilisant l’humour
Aimez-vous une fille qui a tout ce que vous rend dingue et plus ? Découvrez comment inviter une fille en utilisant l’humour. C’est facile quand vous pouvez être un gars drôle et charmant à la fois. Il y a tellement de façons d'inviter une fille. Vous pouvez être le dur, le gamin, ou vous pouvez être l'ami. Mais il y a aussi une autre façon de gagner une jeune fille encore, et c’est en apprenant à faire rire une fille. Chatouiller une fille avec votre humour est la meilleure façon de faire qu’elle tombe amoureuse de vous. Mais c’est aussi truffé de dangers qui ne sont pas faciles à voir. Pour commencer, si vous n'êtes pas un gars drôle et vous essayez de sortir avec une jeune fille tout en rigolant, vous allez probablement finir par ressembler à une piqûre ennuyeuse. Un autre grave danger est la zone amie perfide. Si vous n'êtes pas trop prudent avec votre approche amicale pour sortir avec une fille, vous pouvez finir par devenir son « je-désire-que-tu-sois-mon-meilleur-ami ». Utiliser ces étapes sur comment inviter une fille en étant un gars drôle, et vous serez en mesure de faire que la fille vous aime et passe un grand moment étant avec vous. Comment inviter une fille en utilisant l'humour Maintenant, avant d’essayer d'inviter une jeune fille en utilisant l'humour, vous devez savoir comment faire rire une fille et lui fait passer un excellent moment quand elle est avec vous. Maintenant l’humour et le sarcasme n’est pas quelque chose qui peut être acquis du jour au lendemain. Il faut beaucoup de temps. En fait, il est plus difficile d'apprendre à être drôle que tous les autres trucs pour impressionner les femmes. Mais en même temps, l'humour et le sarcasme est quelque chose qui peut vous rendre populaire et aimé par tout le monde, pas seulement par la femme que vous essayez d'attirer. [Lire: Comment faire pour qu'une fille vous aime] Pour être le gars populaire et obtenir n’importe quelle fille que vous voulez avec l’humour, vous devez avoir le sarcasme et le charme à la fois. Pensez à Russell Brand, Adam Sandler et Hugh Grant. Ils sont tous des hommes drôles exceptionnellement doués avec leurs propres styles d'humour. Et la meilleure partie, peu importe quel genre d'humour vous choisissez, vous pouvez toujours vous retrouver avec la jeune fille. Comment faire rire une fille Pour être un gars drôle, regarder toujours le côté positif de tout et essayer de trouver un côté drôle à tout ce qui se passe autour de vous. Être drôle n’est pas seulement ce que vous dites, c’est aussi la façon dont vous vous comportez lorsque vous dites quelque chose. Bien qu'il ne soit jamais facile de prêcher sur l'humour, pour commencer, regarder quelques humoristes dans leur heure de gloire. Vous serez en mesure de ramasser quelques conseils de débutants en peu de temps. [Lire: Comment parler à une fille] Pourquoi faire rire une fille travaille si bien ? L’humour est un grand brise-glace, peu importe où vous êtes. Il fonctionne à une fête, dans le bureau et avec les femmes aussi. Quand un mec s’approche d'une fille, la tension commence à se construire presque instantanément dès le départ. La jeune fille devient énormément prudente, en supposant que vous pouvez être une personne arrogante qui essaie d’aimer quelqu’un et qui va essayer de la séduire. Mais au lieu d'essayer de lui montrer que vous êtes un homme sage, si vous révélez votre côté drôle immédiatement, vous seriez en mesure d'apaiser la tension et n’importe quelle fille avec qui vous parlez va se réchauffer et perdre ses inhibitions en peu de temps. Le meilleur type d'humour pour séduire une fille Dès que vous vous êtes présenté à la fille que vous aimez, soyeux chaleureux et convivial. Vous n’avez pas besoin d'allumer votre mauvais charme de garçon ici. Vous essayez seulement de jouer le bon gars. Pour commencer, parler de l’endroit où vous êtes, ou de l'ami qui vient de vous présenter. Parler de tout ce que vous croyez possible pour créer des conversations plus intéressantes, aussi longtemps que vous êtes tous deux conscients et désireux de parler. C’est pourquoi parler de l'endroit ou d’un ami ou même d’un jeu est une excellente façon de garder la conversation. Après une minute de conversation, parler d'un incident drôle qui vous est arrivé dans le même temps que vous l'avez rencontrée. S’il y a une chose qui peut faire éclater une fille de rire et vous aimer presque instantanément, c’est le genre d'humour où vous vous ridiculisez en essayant de faire quelque chose de stupide ou faire comme si quelque chose vous faire défaut alors que ce n’est pas vraiment le cas. Les filles présument toujours qu’un gars essayera de dominer une fille dès qu'ils interagissent entre eux. Mais quand vous vous moquez avec humour, cela fait que la fille se sent comme la personne dominante et puissante dans la conversation. Et quand elle se sent comme si elle avait le contrôle de la situation, elle va s’ouvrir à vous et même mener la conversation avec facilité. Cela peut vous faire paraître plus faible au début, mais quelques lignes intelligentes et le sarcasme peut vous ramener dans son livre d’amour en peu de temps. Vous ridiculisez en utilisant quelques blagues dérisoires est toujours un grand succès auprès des dames. Voici une grande blague pour une première conversation. « Vous savez que je ne sais vraiment jamais ce que dire à une fille dès que je me présente à elle. Presque toujours, je finis par ressembler à un idiot. Attendez une minute ... putain, j’ai l'air d'un idiot en ce moment, n’est-ce pas ? » [Lire: De quoi parler pendant un premier rendez-vous ?] N’exagérez pas avec l’humour dérisoire Même si l’humour dérisoire peut être un excellent moyen pour ouvrir une conversation, ne vous fiez pas complètement à cela pour séduire une fille. Si vous voulez inviter une fille, vous devez utiliser l'humour pour la mettre à l'aise, ne pas lui donner une chance de marcher sur vos pieds. Si vous êtes un gars vraiment drôle et charmant et dîtes à une fille que vous pensez que vous êtes ennuyeux, elle va évidemment rire et nier. Mais si vous êtes un mec ennuyeux et que vous utilisez la même ligne, vous finiriez par ruiner la conversation immédiatement. Se moquer de votre bon côté, et jamais de votre mauvais côté, si vous voulez impressionner une fille. Lorsque vous révéler quelque chose qui est vraiment un défaut, cela va donner l’impression que vous n’avez pas l'ego et le respect de soi. Un gars qui se soucie de lui-même ne se ridiculise pas constamment. Ne jamais tomber dans la zone amie Comme la conversation se réchauffe, deux choses peuvent se produire. Elle pourrait devenir très à l'aise avec vous et vous regarder comme un drôle de gars qui pourrait être un grand ami. Ou elle pourrait commencer à tomber amoureux de vous. Ne laissez jamais la conversation entrer dans la zone amie. Après quelques minutes du début de votre rencontre, familiarisez-vous avec elle, complimentez-la ou commencer à flirter avec elle. Faites-lui savoir que vous ne voulez pas devenir son MEILLEUR AMI. Faites bien comprendre que vous pensez qu'elle est attrayante et le genre de fille que vous cherchez. [Lire: Comment flirter avec une fille] Apporter de l’humour sexy dans la conversation Une fois que vous lui avez faire savoir que vous êtes intéressé par elle et pensez qu'elle est attrayante, apporter de l'humour encore une fois dans la conversation de temps de en temps, mais le ramener avec une touche vigoureuse. « Dieu, si seulement je savais comment danser ... Je pourrais utiliser n’importe quelle excuse dès maintenant pour avoir mes mains sur vous! Mais bon, vous savez quoi, je ne sais pas comment animer une dance. Que diriez-vous je vous prenne et nous allions chercher une tasse de café ? Et puisque mes mains seront occupées à vous conduire, vous pourrez vous agripper complètement autour de moi, au moins jusqu'à ce que nous arrivons au resto de café! » Vous n’avez pas à dire les mêmes lignes. Juste innover et dire quelque chose qui lui permet de savoir que vous pensez qu'elle est chaude et vous ne pouvez pas attendre pour l'inviter elle. [Lire: Comment complimenter une fille] Montrer l'homme réel en vous Quel que soit le sarcasme et l’humour que vous pouvez faire apparait, ne vous comportez pas de la même manière quand quelqu'un d'autre interrompt la conversation ou si vous êtes en interaction avec quelqu'un d'autre autour d'elle. Elle peut se rendre compte que vous plaisantez seulement avec de l’humour dérisoire pour avoir un moment de plaisir, mais c’est seulement si vous montrez l'homme réel en vous de temps en temps. Si vous voulez savoir comment inviter une fille et l'impressionner dès le départ, ayez une conversation drôle avec elle, mais faites qu’elle se sente en sécurité et aimée auprès de vous. Soyez chevaleresque et prêter attention à ses besoins. Vous n’avez pas besoin de vous battre avec un autre homme pour prouver que vous êtes un vrai homme, mais vous avez encore plus besoin de la traiter comme une dame et vous comporter comme un gentleman auprès d'elle. [Lire: Comment être chevaleresque] Sortir avec en faisant rire Si vous voulez inviter une jeune fille en utilisant l'humour, réchauffer la avec l'humour et laisser lui savoir que vous voulez vraiment sortir avec elle, et jouer le rôle de l'homme qui la protège. Les femmes aiment les hommes qui sont charmant et plein d'humour. Et vous venez de montrer que vous avez beaucoup de cela en vous. Et au-delà, elles veulent un homme qui peut les protéger. Et vous avez été en mesure de révéler ce côté de vous pour elle. [Lire : Comment charmer une fille] Tout cela peut commencer avec l’humour dérisoire, mais il faut tout de même apprendre à la faire rire en parlant de choses intéressantes et drôles auxquelles elle peut s’identifier. Utilisez ces conseils et vous saurez comment inviter une fille en utilisant l’humour et laisser la fille vous voir comme un grand homme, sans jamais lui faire sentir qu’elle est l’histoire d’une nuit. Elle va penser à vous, même après la conversation ou le rancard, et cela va certainement être une pensée heureuse! [Lire: Comment savoir si une fille vous aime] La prochaine fois que vous voulez savoir comment inviter une fille, essayez de lui faire la cour en utilisant l’humour. Vous souhaitez apparaître charmant, intelligent et sarcasme en même temps. Et quand vous le pouvez, associer cela avec la chevalerie et la protection, il y a un grand nombre de fille qui vous tomber éperdument amoureuse de vous! The article was originally published here! Comment inviter une fille en utilisant l’humour
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Immortel
-Je pourrais avoir un moment tout seul?
-Vous êtes immortel, peut-être dans une autre décennie.
Il prend une profonde inspiration et se retourne en se pinçant fortement le nez. Il avait appris à être patient au cours de ses trois cent dernières années, mais les circonstances, à défaut d’un autre mot, commençaient à lui peser. Il n’avait pas été seul plus de trente secondes ces trois derniers mois et il se sentait plus proche de la folie qu’il ne l’avait jamais été. Il s’approche de la fenêtre (à barreaux, bien sûr) et laisse son regard se promener sur les quartiers de la ville.
Il sait que c’est en vain, que son sauvetage ne viendra pas de l’extérieur. Ce n’est pas faute d’avoir essayé d’attirer l’attention de quelqu’un, surtout de nuit, mais au bout d’un mois, il avait bien compris que cela ne servirait à rien. Il était trop haut, dans une ville trop grande.
Cent ans plus tôt, c’était bien sûr l’anonymat qu’il était venu y chercher, mais maintenant, il sait que c’est ce qui le condamne. Il pousse un nouveau soupir et se détourne de la vitre.
Son geôlier, lui, ne bouge pas et s’est installé sur un fauteuil confortable, lui jetant à l’occasion des coup d’oeil tranquilles. Il ne se fait pas de souci et il a bien raison, l’immortel le sait, il n’a aucun moyen de partir, aucun moyen de s’enfuir, aucun moyen de mettre son projet à exécution.
Il est bien traité, tout de même. Il doit bien admettre qu’à ce niveau-là, il n’a pas de quoi se plaindre. C’est plutôt le reste qui est gênant. C’est la surveillance, le fait de ne pas pouvoir sortir. Les arbres lui manquent, réalise t-il soudain. Les quelques plantes vertes de son appartement ne peuvent guère faire le poids face à son chêne préféré, dans son parc préféré.
À nouveau, son regard se pose sur l’autre personne avec lui et il se demande s’il pourrait le convaincre de le laisser sortir. Pas pour s’enfuir, juste pour faire quelques pas à l’extérieur de ce maudit appartement qu’il connaît par coeur, puisqu’il y vit depuis quatre-vingt dix ans. C’est peine perdue, il le sait d’avance. Tous ses geôliers ont eu des ordres stricts et n’oseraient pas y contrevenir. Ils se relaient de toute façon assez régulièrement et il n’a pas eu le temps de faire connaissance avec eux (s’il en avait vraiment eu envie et s’ils étaient du genre à papoter). L’autre, paraissant ennuyé (cela arrivait parfois à la fin de leurs quarts), promène son regard dans la pièce, s’arrêtant sur une statuette de marbre que l’immortel avait acheté au sculpteur lui-même. Agacé, ce dernier combat l’envie de lui ordonner d’arrêter. Peut-être qu’il n’aurait pas dû, mais il était devenu matérialiste. Les choses, elle, ne vous quittent jamais, elles ne faiblissent pas pour mourir dans vos bras.
Il se détourne. Il ne veut pas y penser, c’est tout. Il refuse de remuer le passé. Il veut être ailleurs, loin et seul. Il veut faire aboutir son projet. Il ne veut, ne désire, n’a besoin que de paix. Il s’assoit dans son canapé, tourné vers la fenêtre et songe un long moment.
-Très bien., dit-il, sa voix résonnant dans son salon, est-ce que je peux au moins la voir?
Son garde hausse les épaules, imperturbable, mais se lève. À la porte d’entrée, il toque deux coups rapprochés et un troisième plus fort et distinct et la porte s’ouvre. Il faut toute la retenue de l’immortel pour ne pas se précipiter et tenter sa chance. Mais il a bien appris sa leçon. On ne lui fait subir aucun dommage sérieux, mais il ne franchit jamais le seuil. À la place, il observe de son mieux, tendant l’oreille. La conversation est brève et la porte se referme. Une trentaine de minutes plus tard, elle entre, un sourire affable aux lèvres. Elle fait un simple geste à son sous-fifre qui se lève immédiatement et sort sans un mot. Ensuite, elle place son regard dans le sien, comme si elle rencontrait un client.
-Qu’est-ce que je peux faire pour vous?
Tout d’un coup, il voit rouge. Il avait prévu de mentir, d’être obséquieux au possible, mais là, c’en est trop.
-Vous pouvez reprendre vos gens et quitter mon appartement.
Elle le fixe d’un air surpris et il se demande si elle l’est réellement.
-Auriez-vous changé d’avis?
Il est si énervé qu’il n’arrive même pas à mentir.
-Non.
Elle l’observe, il se calme. Il a fait son choix et il y tient.
-Alors, je crains qu’il va falloir que nous restions.
Elle part déjà vers l’entrée quand son tempérament l’abandonne une nouvelle fois. Il n’a plus de patience, plus d’espoir. Il veut juste... D’un revers de la main, il renverse un vase. Dommage, il avait près de cent ans. Elle s’arrête, mais, le dos tourné, n’a pas l’air plus perturbé que cela.
-J’ai vu plus que vous ne pourriez jamais imaginer, fait plus que vous ne pourriez seulement comprendre. J’ai combattu dans des guerres et perdu tous les gens que j’aimais. Maintenant, c’est fini. J’en ai assez. Je mérite...
Il s’interrompt. Inspire profondément. Ferme les yeux. Il est à fleur de peau.
-De mourir.
Il a les yeux posés sur le tapis et y aperçoit une tache. Son esprit s’y fixe. Depuis combien de temps est-elle là? Pourquoi ne l’avait-il jamais remarqué? Était-ce un de ses «invités» qui l’avait laissé?
-Je comprends ce que vous vivez.
Il l’en aurait presque oublié, tiens... Il relève la tête et croise ses yeux.
-Comment est-ce que vous pourriez comprendre?, lâche t-il, sèchement.
Elle a une expression douce, mais réprobatrice sur le visage. On dirait une mère face à un enfant qui vient de dire une bêtise.
-Vous croyez vraiment que les immortels ont le monopole du désespoir? Vous avez accumulé plus de vie qu’eux, c’est tout. Y compris plus d’amour, de bonheur et de lever de soleil.
Il a déjà pensé à tout ça. Il secoue la tête.
-Ma décision est prise.
-Tout comme l’était la mienne il y a sept-cents ans.
Elle semble amusée de sa surprise. Et surpris, il l’est! S’il a déjà rencontré d’autres immortels, c’est un fait plutôt rare. Il pensait même être en mesure de les détecter à leur regard. Il l’observe; il n’a jamais vu quelqu’un d’aussi vieux. Elle a un rire cristallin et étend les bras, se laissant fixer sans embarras.
-Je sais que tu as fait ton choix., dit-elle, choisissant le tutoiement, montrant que la dernière barrière entre eux était tombée. Mais donne-moi cinq ans.
Il écarquille les paupières, incapable de trouver immédiatement quoi répondre.
-Non !, finit-il par refuser, plus pour la forme.
-Nous sommes immortels, qu’est-ce que ça change, cinq ans de plus ou de moins ! Après, tu seras libre de faire tout ce que tu veux. Mais avant, tu ne tentes rien pour finir ta vie.
À nouveau, il reste silencieux, réfléchissant. Mais trop de choses se sont passées en trop peu de temps et il n’a plus l’habitude.
-Tu préfères rester ici à ruminer dans ton appartement, surveillé constamment par mes gens?
Il secoue furieusement la tête. Alors, ça, non !
-Parfait. Tu veux prendre quelque chose?, propose t-elle, faisant un geste embrassant tout son univers.
-Non.
Il ne veut rien. S’il prend quelque chose, son appartement lui manquera et il ne veut pas risquer de fléchir. Elle lui ouvre la porte et il ressent une émotion indescriptible, un mélange de panique, de gratitude, de soulagement et d’agacement. Il avance enfin et franchit le seuil. Il en est presque étourdi et s’arrête un moment. Elle s’avance déjà dans le couloir.
-Ferme bien. Tu ne reviendras pas avant longtemps.
Il obéit, comme un enfant obéit à sa mère et la suit machinalement.
Elle a raison, bien sûr; il ne revient que sept ans plus tard.
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EnModeCopilote3.1
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Précédemment dans 3.0
Le printemps frappa de plein fouet notre ami Faye qui tomba sous le charme de Jaeden. Maintes furent les tentatives, toutefois le printemps semblait plus présent au niveau du temps qu’au niveau du coeur. Ils étaient plus enclins à être embarrassés qu’à s’embrasser. Eh oui le “A” de trop. Comme lorsqu’on vient d’avoir le permis. Alors qu’ EnModeCopilote3 semblait déjà se terminer avec la déclaration de Faye et le choix mutuel de rester amis, voilà qu’arrive le fameux 3.1. Mai 2017 nous a laissé comme un goût amer. La logique de cette série voudrait qu’on suive Faye et/ou Jaeden jusqu’à la fin de la série. A votre avis que va-t-il se passer?
Juillet 2017
Je vous propose de laisser pour l’instant de côté Jaeden et Faye. Ne vous inquiétez pas on en reparlera dans le 3.2 et vous comprendrez probablement pourquoi.
Un vent nouveau soufflait. Je prenais des nouvelles d'un ami qui galérait un peu en amour…. bon OK il galérait beaucoup en amour et il semblait avoir trouvé quelqu'un qui l'attirait.
Il y a deux types de galérien en amour : ceux qui enchaînent les relations dites sérieuses sans succès et ceux qui enchaînent les cibles sans jamais marquer au but. Celui qu'on va appeler Jake se trouvait plus dans le deuxième catégorie.
J'arrive en plein milieu d'un travail qui a déjà été bien amorcé. Amorcé comment ? Eh bien il faut croire que pour cette mission de copilotage, j'ai un partenaire ou devrais-je dire UNE partenaire ! (Ce n'est pas ce que vous croyez, je peux tout vous expliquer lol.) Cette fille était un choix logique de copilote (enfin je présume) car dans un premier temps elle était sur place tandis que moi j'étais à 200 km. En outre elle connaissait bien la fille qui intéressait Jake et qu'on va appeler Ashanti. (Tandis que moi je connaissais mieux Jake.)
Avant toute chose, il est essentiel de se mettre à jour et nous allons le faire ensemble. EnModeCopilote3.2 : Jake & Ashanti Origins. Jake et Ashanti s’étaient rencontrés en ce beau mois de juillet lors d’un événement annuel, bien que leur rencontre ne fusse point la finalité de cet événement. Le feeling passait plutôt bien entre les deux par conséquent ils s’ajoutèrent sur Facebook, réseau sur lequel ils continuèrent leurs échanges.
Jake voulait mettre un coup d’accélération et c’est alors que LA copilote entra en jeu! Après quelques mots échangés, LA copilote comprit vite qu’il était intéressé par Ashanti et lui proposa de missionner pour lui.
PILULE ROUGE : Faire comprendre à Ashanti que Jake semble attiré par celle-ci (TECHNIQUE PLUS DIRECTE) PILULE BLEUE : Donner de l’intérêt pour Jake aux yeux d’Ashanti (TECHNIQUE INDIRECTE)
Jake choisit la pilule rouge. Ainsi LA copilote envoya un message à Ashanti sur Whatsapp « qui disait à peu près qu'elle lui (Jake) plaisait. » (termes de Jake). Cependant elle ne répondit point à son amie. J'ai presque envie d'arrêter ici cet épisode, cependant c'est pile à ce moment que je fais mon apparition.
Ce qui est amusant dans tout ça c’est que les deux copilotes ont travaillé ensemble sans se concerter, un peu comme.... une entreprise? Bon en réalité ce n’est pas très étonnant dans la mesure où LA copilote connait bien Ashanti tandis que moi je connais mieux Jake.
“Mr. & Mrs. Copilot”
LA copilote conseilla à Jake de se lancer et de lui parler. Il est important de préciser que premièrement Ashanti et Jake sont chrétiens ; deuxièmement ils ne fréquentent pas la même église ; troisièmement Ashanti est la fille… du pasteur de son église.
Jake s'est mis à fréquenter deux églises. A l'heure où la spiritualité prend de moins en moins d'ampleur, du moins en France, on peut saluer le rythme marathonien de notre Dom Juan. Qu'est-ce qu'on ne fait pas par amour ? Enfin dans ce cas de figure, on n'est pas exactement dans l'amour mais plus dans l'attirance. Espérons toutefois (un peu naïvement certes) qu'il ne ressorte pas de sa deuxième église en pensant uniquement à sa dulcinée…. (Fin de la mise à jour)
Début Août 2017
Premier constat : Ashanti n’a effectivement pas répondu à LA copilote, ce qui est plutôt problématique car on ne sait pas du tout ce que cela signifie. Encore faut-il savoir ce qu’a réellement écrit notre chère amie. Personnellement je n’aime pas trop qu’on révèle que j’ai un penchant pour quelqu’un, car cela peut compliquer la situation plus qu’autre chose, ce qui est un peu le cas à l’heure actuelle.
C’est alors que Jake me confia qu’il pensait “que LA copilote allait faire une manoeuvre différente.” Attends... WHAT? C’est quoi cette blague? Ne lui avait-elle pas laissé le choix dans sa manière d’agir? Eh bien il faut croire qu’elle lui proposa juste de missionner pour lui et qu’elle lui demanda s’il voulait qu’elle révèle ce qu’il ressentait pour Ashanti. Ce à quoi Mister répondit “ sans forcer, enfin je sais pas “ et la copilote se mit à l’action. Jake s’attendait à une certaine subtilité de la part de son associée mais il faut croire que.... En réalité on ne sait pas exactement ce qu’a dit LA copilote, mais elle semble s’y connaître et elle sait être discrète donc tout est possible. Ou alors il y a vraiment eu un quiproquo et si en plus Ashanti ne daigne répondre, autant dire qu’on n’est pas sorti de l’auberge mais peu importe... les affaires reprennent!
D’abord il faut réconforter et rebooster notre homme notamment en lui rappelant les qualités qu’il possède. Nous sommes souvent enclins à nous sous-estimer, à nous déconsidérer. Cela arrive généralement lorsque nous vivons des déceptions (amoureuses ou autre) ou lorsque nous devons faire quelque chose de complexe ou difficile (prendre des responsabilités ou travailler pour un examen par exemple). Nous voyons plus les qualités des autres que les nôtres, par conséquent utilisons ce comportement à bon escient!
Maintenant place à l’action. Jake et Ashanti se voient hebdomadairement i.e. à l’église (lol). Ils discutent généralement à la sortie du culte pendant.... cinq minutes. Cinq minutes de discussion, c'est peu n'est-ce pas ? On aurait espéré au moins une vingtaine de minutes, mais non. Rassurez-vous ce court laps de temps n'est pas relié à une quelconque timidité, mais plutôt à une volonté de la part d'Ashanti de fermer la conversation (Ah oui c’est vrai que c’est rassurant!).
Si son attitude semble frustrante au regard de Jake, je la trouve plutôt sensée. Au-delà du fait qu'elle n'ait pas répondu au message de LA copilote vis-à-vis de notre séducteur, il est important de rappeler qu'elle est dans l'église qu'elle fréquente depuis longtemps et qu'elle est la fille du pasteur. Ajoutez à cela le fait qu'elle soit célibataire, sage et mignonne (d'après les dires de certains) et vous pouvez être sûrs que beaucoup d’ yeux, pas nécessairement intéressés, sont braqués sur elle. Si elle se met à parler longuement avec quelqu'un qu'on voit peu voire qu'on n'a jamais vu, je peux vous assurer que les conclusions hâtives fuseront. Autant dire que l'espoir renaît au fond de Jake qui sentait la Friendzone approcher, tant mademoiselle semblait distante.
Toutefois de nombreux questionnements traversent notre ami qui a tendance à beaucoup calculer, un peu comme un copilote (cf EnMode(Co)Pilote1.0 - Un copilote?) sauf que nous ne nous focalisons pas là-dessus (mais c’est vrai que c’est drôle de calculer). Un grand conseil que je peux donner c’est qu’il est préférable de PEU réfléchir plutôt que de TROP réfléchir. Il faut arrêter de se casser la tête pour rien, surtout quand rien n’est joué. Les sur-interprétations ne mènent qu’à une implosion.
Mi-Août 2017
BREAKING NEWS : Le message envoyé par LA copilote n’a jamais été reçu!
Tout est encore possible !
D’après les dires de LA copilote, jusqu'à maintenant, sur WhatsApp, c'est l'image d'un horloge qu'on voit dans la discussion entre LA copilote et Ashanti mais pas le signe d’un message envoyé.
Au-delà de cette bonne nouvelle, on est mi-août et vous avez peut-être l’impression qu’on ne bouge pas d’un pouce, alors que le comportement logique suite au “problème de l’église” serait d’inviter Ashanti autre part. En effet, il n’y a pas eu de réelle agitation, toutefois figurez-vous que notre séducteur y a pensé! Cependant sa bien-aimée a encore un mémoire à rédiger donc la sortie est repoussée à... septembre car elle doit le rendre au début du mois! Jake lui a également proposé de l’accompagner à la bibliothèque mais elle préfère travailler seule. Bien qu’il ne se passe rien de spécial, Jake et moi-même sommes constamment en communication.
Début Septembre 2017
Ca y est! On a tous suffisamment attendu! J’ai presque envie de dire que c’est le moment de vérité : Jake a une chance qui se présente également comme la dernière! On avait un peu discuté auparavant sur ce que nos deux tourtereaux pouvaient faire et sur les petits détails importants qui permettent de faire la différence. Qu’en est-il réellement?
Essayons de bien analyser ce qu’il s’est passé. Jake était en stage jusqu’à la fin du mois d’août. Etant donné qu’il s’agissait de son travail de fin d’études, il devait aussi faire une soutenance. Par ailleurs il devait chercher un appartement avant de commencer son nouveau travail mi-septembre. Et pour finir il avait également plusieurs procédures administratives à réaliser. Vous l’aurez compris, une fois juillet et août passés, la réalité nous rattrape! Notre homme était bien trop occupé par tous ces désagréments pour penser à Ashanti, alors qu’elle avait enfin un peu de temps libre.
Date de sortie repoussée et je ne parle pas d’un film ou d’un jeu
On est arrivé à un stade où il n’y a même pas de plan (foireux).
Mi-Septembre 2017
Au terme des multiples démarches administratives que Jake a dû réaliser, notre homme a enfin une situation stable. il est enfin établi! Il a tout ce qu’il lui faut. Ou presque. (If you know what I mean!). A lui de jouer ! #Yu-Gi-Oh!
Comment notre ami Jake va-t-il s’en sortir? Ashanti va-t-elle finalement succomber à son charme? Et qu’en est-il de Jaeden et Faye? En quoi sont-ils reliés à Jake? Vont-ils de leur côté briser les murs de la Friendzone? Toutes vos réponses AU PROCHAIN NUMEROOOOOOOOOO!!!!!!
Affaires à suivre...
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2. Christ est-Il vraiment le Fils de Dieu ou est-Il Dieu Lui-même ?
Référence biblique :
« Moi et le Père nous sommes un » (Jean 10:30).
Paroles de Dieu concernées :
Le Dieu incarné S’appelle le Christ, et le Christ est la chair que revêt l’Esprit de Dieu. Cette chair ne ressemble à aucun homme qui est fait de chair. Cette différence tient au fait que le Christ n’est pas de chair et de sang, mais Il est l’incarnation de l’Esprit. Il possède à la fois une humanité normale et une divinité complète. Sa divinité n’est possédée par aucun homme. Son humanité normale sustente toutes Ses activités normales dans la chair, tandis que Sa divinité réalise l’œuvre de Dieu Lui-même. Que ce soit Son humanité ou Sa divinité, toutes deux sont soumises à la volonté du Père céleste. L’essence du Christ est l’Esprit, c’est-à-dire, la divinité. Par conséquent, Son essence est celle de Dieu Lui-même […] Étant donné que Dieu Se fait chair, Il réalise Son essence dans Sa chair […] Et puisque Dieu Se fait chair, Il travaille dans l’identité de Sa chair ; comme Il vient dans la chair, Il achève ensuite dans la chair l’œuvre qu’Il doit faire. Que ce soit l’Esprit de Dieu ou le Christ, les deux sont Dieu Lui-même, et Il fait l’œuvre qu’Il doit faire et accomplit le ministère qu’Il doit accomplir.
Extrait de « L’essence du Christ est l’obéissance à la volonté du Père céleste », La Parole apparaît dans la chair
Le Fils de l’homme incarné exprimait la divinité de Dieu par le biais de Son humanité et transmettait la volonté de Dieu au genre humain. Et par l’expression de la volonté de Dieu et de Son tempérament, Il révéla aussi aux gens le Dieu qui ne peut pas être vu ou touché dans le domaine spirituel. Ce que les gens ont vu est Dieu Lui-même, tangible, avec de la chair et des os. Ainsi le Fils de l’homme incarné fit de la propre identité de Dieu, de Son statut, de Son image, de Son tempérament et de ce qu’Il a et est des choses concrètes et humanisées. Même si l’apparence extérieure du Fils de l’homme avait quelques limitations au regard de l’image de Dieu, Son essence et ce qu’Il a et est étaient tout à fait capables de représenter l’identité propre de Dieu et Son statut. Il y avait seulement quelques différences dans la forme de l’expression. Peu importe s’il s’agissait de l’humanité du Fils de l’homme ou de Sa divinité, nous ne pouvons pas nier qu’Il représentait l’identité propre de Dieu et Son statut. Pendant ce temps, toutefois, Dieu travaillait par la chair, parlait du point de vue de la chair et se tenait face au genre humain avec l’identité et le statut du Fils de l’homme ; cela donnait aux gens l’opportunité de rencontrer et de vivre les vraies paroles et l’œuvre véritable de Dieu parmi les hommes. Cela permettait aussi aux gens d’acquérir une idée de Sa divinité et de Sa grandeur en toute humilité, ainsi que d’obtenir une compréhension préliminaire et une définition préliminaire de l’authenticité et de la réalité de Dieu. Même si l’œuvre accomplie par le Seigneur Jésus, Ses manières de travailler et la perspective à partir de laquelle Il parlait différaient de la vraie personne de Dieu dans le domaine spirituel, tout Le concernant représentait véritablement Dieu Lui-même que les humains n’avaient jamais vu auparavant : cela ne peut être nié ! Cela veut dire que peu importe dans quelle forme Dieu apparait, peu importe à partir de quelle perspective Il s’exprime ou à dans quelle image Il se présente à l’humanité, Dieu ne représente que Lui-même. Il ne peut représenter aucun humain. Il ne peut représenter aucun humain corrompu. Dieu est Dieu Lui-même et cela ne peut être nié !
Extrait de « L’œuvre de Dieu, le tempérament de Dieu et Dieu Lui-même III », La Parole apparaît dans la chair
Quand Jésus appelait le Dieu du ciel par le nom de Père alors qu’Il priait, cela n’a été fait que du point de vue d’un homme créé, seulement parce que l’Esprit de Dieu S’était vêtu comme un homme ordinaire et normal et avait l’aspect extérieur d’un être créé. Même s’il y avait en Lui l’Esprit de Dieu, Son apparence externe restait celle d’un homme ordinaire ; en d’autres termes, Il était devenu le « Fils de l’homme » dont tous les hommes, y compris Jésus Lui-même, parlaient. Étant donné qu’Il est appelé le Fils de l’homme, Il est une personne (peu importe, homme ou femme, en tout cas quelqu’un ayant une enveloppe extérieure d’un être humain) née dans une famille normale de gens ordinaires. Par conséquent, Jésus appelant le Dieu du ciel par le nom de Père se comportait de la même façon que vous lorsque vous L’appeliez au départ par « Père » ; Il l’a fait du point de vue d’un homme de la création. Vous souvenez-vous toujours de la Prière du Seigneur que Jésus vous a apprise à mémoriser ? « Notre Père qui es aux cieux… » Il a demandé à tout homme d’appeler Dieu qui est au ciel par le nom de Père. Et puisque Lui aussi Il L’a appelé Père, Il l’a fait du point de vue de celui qui est sur un même pied d’égalité avec vous tous. Puisque vous appeliez le Dieu du ciel par le nom de Père, cela montre que Jésus S’est vu sur un même pied d’égalité avec vous, et comme un homme sur la terre choisi par Dieu (c’est-à-dire le Fils de Dieu). Si vous appelez Dieu « Père », n’est-ce pas parce que vous êtes un être créé ? Quelle que soit l’autorité de Jésus sur la terre, avant la crucifixion, Il était simplement un Fils de l’homme, dirigé par le Saint-Esprit (c’est-à-dire par Dieu) et l’un des êtres créés de la Terre, car Il devait encore achever Son œuvre. Par conséquent, le fait qu’Il ait appelé le Dieu du ciel par « Père » n’était que Son humilité et Son obéissance. Le fait qu’Il S’adresse à Dieu (c’est-à-dire, l’Esprit dans le ciel) de cette façon, toutefois, ne prouve pas qu’Il est le Fils de l’Esprit du Dieu du ciel. C’est plutôt simplement que Sa perspective est différente, et non pas qu’Il est une personne différente. L’existence de personnes distinctes est une erreur ! Avant Sa crucifixion, Jésus était un Fils de l’homme lié par les limites de la chair, et Il n’était pas en pleine possession de l’autorité de l’Esprit. C’est pourquoi Il ne pouvait chercher la volonté de Dieu le Père que du point de vue d’un être créé. C’est comme lorsqu’Il a prié trois fois à Gethsémani : « Non pas ce que je veux, mais ce que tu veux ». Avant qu’Il ne soit porté sur la croix, Il n’était que le roi des Juifs ; Il était le Christ, le Fils de l’homme, et non un corps de gloire. C’est pourquoi, du point de vue d’un être créé, Il appelait Dieu Père.
Extrait de « La Trinité existe-elle ? », La Parole apparaît dans la chair
Il y en a encore qui disent, Dieu n’a-t-Il pas expressément dit que Jésus était Son Fils bien aimé ? « Jésus est le Fils bien aimé de Dieu, en qui Il a mis toute Son affection » c’était certainement une déclaration de Dieu Lui-même. C’était Dieu qui témoignait de Lui-même, mais simplement d’une perspective différente, celle de l’Esprit dans les cieux témoignant de Sa propre incarnation. Jésus est Sa propre incarnation, non pas Son Fils au ciel. Le comprends-tu ? Les paroles de Jésus : « Le Père est en Moi et Je suis dans le Père », n’indiquent-elles pas qu’Ils sont un seul Esprit ? Et n’est-ce pas en raison de l’incarnation qu’Ils furent séparés entre le ciel et la terre ? En réalité, Ils sont encore un ; quoi qu’il arrive, c’est simplement Dieu qui Se rend témoignage à Lui-même. En raison du changement d’ère, des exigences de l’œuvre et des différentes étapes de Son plan de gestion, le nom par lequel l’homme L’appelle est également différent. Quand Il est venu pour accomplir la première étape de l’œuvre, Il ne pouvait être appelé que l’Éternel, le berger des Israélites. Dans la deuxième étape, le Dieu incarné ne pouvait être appelé que Seigneur, et Christ. Mais à cette époque, l’Esprit dans le ciel déclara seulement qu’Il était le Fils bien-aimé de Dieu, et ne mentionna nullement qu’Il était le Fils unique de Dieu. Ceci n’a pas eu lieu. Comment Dieu peut-Il avoir un enfant unique ? Dieu ne serait-Il alors pas devenu un homme ? Parce qu’Il était l’incarnation, Il était appelé le Fils bien-aimé de Dieu, et, de là, est née la relation entre le Père et le Fils. C’était simplement à cause de la séparation entre le ciel et la terre. Jésus priait sous l’angle de chair. Puisqu’Il S’était vêtu d’une chair d’une humanité normale, c’est sous l’angle de chair qu’Il dit : Mon apparence extérieure est celle d’un être créé. Depuis que Je Me suis vêtu d’une chair pour venir sur cette terre, Je suis très éloigné du ciel. Pour cette raison, Il ne pouvait que prier Dieu le Père sous un angle de chair. C’était Son devoir, et ce dont l’Esprit de Dieu incarné devrait être doté. On ne peut pas dire qu’Il n’est pas Dieu simplement parce qu’Il prie le Père sous l’angle de chair. Bien qu’Il soit appelé le Fils bien-aimé de Dieu, Il est encore Dieu Lui-même, car Il n’est que l’incarnation de l’Esprit, et Sa substance c’est encore l’Esprit.
Extrait de « La Trinité existe-elle ? », La Parole apparaît dans la chair
Si quelqu’un parmi vous dit qu’effectivement la Trinité existe, alors qu’il explique exactement ce qu’est ce Dieu en trois personnes. Qui est-ce le Père très saint ? Qui est le Fils ? Qui est le Saint-Esprit ? L’Éternel est-Il le Père très saint ? Jésus est-Il le Fils ? Et qu’en est-Il du Saint-Esprit ? Le Père n’est-Il pas un Esprit ? La substance du Fils n’est-elle pas aussi un Esprit ? L’œuvre de Jésus n’était-elle pas l’œuvre du Saint-Esprit ? L’œuvre de l’Éternel n’était-elle pas accomplie à l’époque par un Esprit comme Celui de Jésus ? Combien d’Esprits Dieu peut-Il avoir ? Sur la base de ton explication, les trois personnes que sont le Père, le Fils et le Saint-Esprit ne font qu’une personne ; si c’est le cas, il y a trois Esprits, mais avoir trois Esprits signifie qu’il y a trois Dieux. Ce qui veut dire qu’il n’y a pas un vrai Dieu ; comment ce type de Dieu peut-Il avoir la substance inhérente de Dieu ? Si tu acceptes qu’il y a un seul Dieu, alors comment peut-Il avoir un fils et être un père ? Ne sont-ce pas simplement tes idées ? Il n’y a qu’un seul Dieu, une seule personne dans ce Dieu et un seul Esprit de Dieu, tout autant qu’il est écrit dans la Bible : « Il n’y a qu’un seul le Saint-Esprit et un seul Dieu ». Peu importe que le Père et le Fils dont tu parles existent, après tout il n’y a qu’un seul Dieu, et la substance du Père, du Fils, et du Saint-Esprit à laquelle tu crois est la substance du Saint-Esprit. En d’autres termes, Dieu est un Esprit, mais Il est capable de devenir chair et de vivre parmi les hommes, ainsi que d’être au-dessus de toutes choses. Son Esprit est tout-inclusif et omniprésent. Il peut simultanément être dans la chair et dans tout l’univers. Puisque les hommes disent que Dieu est le seul vrai Dieu, alors il n’y a donc qu’un seul Dieu, qui ne peut être divisible à volonté par personne ! Dieu n’est qu’un seul Esprit, et qu’une seule personne ; et c’est l’Esprit de Dieu. Si c’est comme tu dis, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, alors ne sont-Ils pas trois Dieux ? Le Saint-Esprit est une matière, le Fils une autre et le Père en est aussi une autre. Ce sont des personnes distinctes de différentes substances, alors comment peuvent-elles chacune faire partie d’un seul Dieu ? Le Saint-Esprit est un Esprit ; ceci est facile à comprendre pour l’homme. Si c’est le cas, alors le Père est encore plus qu’un Esprit. Il n’est jamais descendu sur terre et n’est jamais devenu chair ; Il est l’Éternel Dieu dans le cœur de l’homme, et Il est certainement aussi un Esprit. Alors quelle est la relation qui existe entre Lui et le Saint-Esprit ? Est-ce la relation entre le Père et le Fils ? Ou est-ce la relation entre le Saint-Esprit et l’Esprit du Père ? La substance de chaque Esprit est-elle la même ? Ou le Saint-Esprit est-Il un instrument du Père ? Comment peut-on expliquer cela ? Alors quelle est la relation qui existe entre le Fils et le Saint-Esprit ? Est-ce une relation entre deux Esprits ou la relation entre un homme et un Esprit ? Ce sont toutes des questions qui n’ont aucune explication ! S’Ils sont tous un seul Esprit, alors il ne peut être question de trois personnes, car Ils sont possédés par un seul Esprit. S’Ils étaient des personnes distinctes, alors Leurs Esprits varieraient en force, et Ils ne pourraient tout simplement pas être un seul Esprit. Ce concept du Père, du Fils et du Saint-Esprit est des plus absurdes ! Ceci divise Dieu et L’éclate en trois personnes, chacune avec un statut et un Esprit ; comment donc peut-Il encore être un seul Esprit et un seul Dieu ? Dites-Moi, les cieux et la terre, et toutes choses en qui s’y trouvent ont-ils été créés par le Père, le Fils ou le Saint-Esprit ? Certains disent qu’Ils les ont créés tous ensemble. Alors qui a racheté l’humanité ? Était-ce le Saint-Esprit, le Fils ou le Père ? Certains disent que c’était le Fils qui a racheté l’humanité. Alors qui est le Fils en substance ? N’est-Il pas l’incarnation de l’Esprit de Dieu ? L’incarnation appelle Dieu au ciel par le nom de Père du point de vue d’un homme créé. N’es-tu pas conscient du fait que Jésus est né de la conception à travers le Saint-Esprit ? En Lui il y a le Saint-Esprit ; quel que soit ce que tu dis, Il ne fait toujours qu’un avec Dieu au ciel, car Il est l’incarnation de l’Esprit de Dieu. Cette idée du Fils est simplement fausse. C’est un Esprit qui réalise toute l’œuvre ; ce n’est que Dieu Lui-même, c’est-à-dire, l’Esprit de Dieu qui accomplit Son œuvre. Qui est l’Esprit de Dieu ? N’est-ce pas le Saint-Esprit ? N’est-ce pas le Saint-Esprit qui travaille en Jésus ? Si l’œuvre n’avait pas été réalisée par le Saint-Esprit (c’est-à-dire l’Esprit de Dieu), alors Son œuvre pourrait-elle représenter Dieu Lui-même ?
Extrait de « La Trinité existe-elle ? », La Parole apparaît dans la chair
Ce que l’homme vit d’abord, c’était le Saint-Esprit descendant comme une colombe sur Jésus ; ce n’était pas exclusivement l’Esprit de Jésus, mais plutôt le Saint-Esprit. Alors l’Esprit de Jésus peut-Il être séparé du Saint-Esprit ? Si Jésus est Jésus, le Fils, et le Saint-Esprit est le Saint-Esprit, alors comment pourraient-Ils être un ? L’œuvre n’aurait pas été réalisée dans ces conditions. L’Esprit en Jésus, l’Esprit qui est au ciel et l’Esprit de l’Éternel ne font qu’un. On peut L’appeler le Saint-Esprit, l’Esprit de Dieu, l’Esprit à septuple gloire, et aussi l’Esprit universel. L’Esprit de Dieu seul peut accomplir une telle œuvre immense. Il est capable de créer le monde et de le détruire, en causant une inondation sur la terre, Il peut racheter toute l’humanité, et plus encore, conquérir et détruire toute l’humanité. Cette œuvre est réalisée par Dieu Lui-même et ne peut pas avoir été accomplie par aucune autre personne que Dieu à Sa place. Son Esprit peut être appelé par le nom de l’Éternel et Jésus, ainsi que le Tout-Puissant. Il est le Seigneur, et le Christ. Il peut également devenir le Fils de l’homme. Il est dans les cieux et aussi sur la terre ; Il est au-dessus des univers et parmi la multitude. Il est le seul Maître des cieux et de la terre ! Depuis le temps de la création jusqu’à maintenant, cette œuvre a été réalisée par l’Esprit de Dieu Lui-même. Que ce soit l’œuvre dans les cieux ou dans la chair, tout est accompli par Son propre Esprit. Toutes les créatures, que ce soit dans le ciel ou sur la terre, sont dans Sa toute-puissante paume de main ; tout ceci est l’œuvre de Dieu Lui-même et ne peut être accompli par personne d’autre que Lui. Dans les cieux, Il est l’Esprit, mais aussi Dieu Lui-même ; parmi les hommes, Il est chair mais reste Dieu Lui-même. Bien qu’Il puisse être appelé par des centaines de milliers de noms, Il est toujours Lui-même, et toute l’œuvre[b] est l’expression directe de Son Esprit. La rédemption de toute l’humanité par Sa crucifixion a été l’œuvre directe de Son Esprit, de même que la proclamation à toutes les nations et à toutes les terres durant les derniers jours. En tout temps, Dieu peut seulement être appelé le Tout-Puissant et le vrai Dieu, le Dieu tout-en-tout. Les personnes distinctes n’existent pas, encore moins cette idée du Père, du Fils et du Saint-Esprit ! Il n’y a qu’un seul Dieu au ciel et sur terre !
Extrait de « La Trinité existe-elle ? », La Parole apparaît dans la chair
Note de bas de page :
[a] Le texte original ne mentionne pas « le travail ».
Source: L’Église de Dieu Tout-Puissant
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Livraison1
Je sonne à la porte de ce bel appartement. -Bonjour monsieur, euh, je suis venu pour cette livraison -Vous êtes en retard, plus de deux heures… -Je je suis désolé, j’ai eu un empêchement -Entrez, enlevez vos chaussures, je n’aime pas qu’on salisse mon appartement -Je, c’est vraiment nécessaire ? J’ai juste besoin d’une signature, là en bas de la page, c’est tout -Faites ce que je vous dis, et fermez la porte derrière vous ! Le ton est sec, la voix autoritaire. J’entre chez cet inconnu. C’est vrai, je suis en retard. Mais bon, pas de quoi en faire des tonnes. Je suis livreur de colis, un livreur de luxe. Mon patron m’appelle à tout moment. Je ne dois pas poser de question. Je ne sais pas ce que je livre, mais je sais que c’est cher payé comme service. Des livraisons pour riches hommes d’affaires, des avocats, des hommes politiques. Parfois le nom de la personne n’est même pas écrit, juste l’adresse précise et l’heure. Le pourboire va avec et je ne cherche pas à savoir plus, c’est de toute façon stipulé dans mon contrat, pas de question. Le problème, c’est que je n’avais pas prévu d’enlever mes chaussures. Personne ne s’en doute, mais voilà, j’ai mon petit secret. Je suis fétichiste, limite travesti. J’adore la lingerie. Rien de grave. Je fais de mal à personne. Parfois, ça m’excite d’en porter. Le plus souvent, je me contente de porter un collant ou des bas résilles et de marcher sans que personne ne s’en rende compte. Ça m’excite. Puis quand je rentre chez moi, je me travesti un peu plus, je mets aussi des hauts talons, et je me caresse longtemps. Je me doute que je ne suis surement pas le seul. Aujourd’hui, voilà, je suis pris de court. Je porte un collant résille et dans mon sac, j’ai de la lingerie et mes escarpins à talons aiguilles parce que je sais que j’aurais le temps cet après-midi. Je ne veux surtout pas qu’il s’en rende compte, alors j’enlève discrètement mes chaussures, et je m’avance dans le salon en cherchant un angle d’approche qui ne lui permette pas de voir mes pieds. -Je suis désolé de mon retard. Sincèrement -Pas autant que moi. Croyez-moi. Vous m’avez fait rater un rendez-vous très important. -Pardon, tenez, voici le colis. Il s’est installé confortablement dans le canapé et jette négligemment le colis à côté de lui. -Vous savez qui je suis ? -Non -Vous savez ce que je fais ? -Non -Tant mieux -Ah. Je suis vraiment désolé. Je -Votre patron, il vous a dit que je suis un de ses meilleurs clients -Non Zut, la poisse, il a l’air de me chercher des histoires. J’espère qu’il ne va pas le signaler à mon boss, il est pas commode celui-là, et ce boulot me convient vraiment. -Ce retard, il va me couter, mmmh, plusieurs milliers d’euros. Vous vous rendez compte ? Mes yeux s’écarquillent. Je vois les ennuis arriver. Peut-être qu’il exagère pour en tirer profit. -Le rendez vous que j’ai loupé, c’était pour faire chanter quelqu’un, une femme, une jolie bourgeoise. C’est ça mon job, maître chanteur. -Je, je m’excuse vraiment Ce n’est qu’après avoir répondu que j’ai compris ce qu’il venait de dire. Merde. Qu’est ce que ca veut dire un maître chanteur. Chez qui suis-je tomber ? J’avale ma salive, ne pas poser de questions, faire profil bas et vite repartir.. -Maintenant, c’est trop tard. En plus, j’avais l’intention de me la taper, cette salope. J’aurais aussi fait chanter son mari. Tu te rends compte ? Un double chantage -Je suis désolé -Désolé mon cul. Il est au courant ton patron de çà ? Evidemment, ça y est, il me désigne mes pieds. Il a vu les résilles ! -Je, quoi ? je -Tss, c’est quoi ce mic mac, tu arrives en retard, tu es habillée en trav, il y a un piège ? je dois m’inquiéter ? -En trav ? non je suis pas -Tu as un micro ? -Hein ? non, je vous jure Il se lève, viens vers moi en un instant et me pousse vers la porte d’entrée. Je ne résiste pas, son regard est déterminé. Il me retourne brutalement et me voilà face à la porte d’entrée, ou de sortie ? -Bouge pas, je vérifie Ses mains me tâtonnent, comme s’il cherchait quelque chose, comme dans les films, une arme ou un micro. Cette scène me semble un peu irréelle. Une fouille précise. Je suis mal à l’aise. Sa main est particulièrement audacieuse, je me rends compte que quelque chose ne va pas avec ce type. -Pose tes mains sur la porte, plus haut. Bouges pas. Pas d’un millimètre. C’est un ordre -Je -Tais-toi, ne bouge pas -Qu’est-ce que vous faites ? -Bouge pas j’ai dit D’un coup de pied, il envoie valdinguer mes chaussures à l’autre bout de la pièce. En quelques gestes, il dégrafe ma ceinture, ma braguette, il s’accroupi puis tire vers le bas mon pantalon. Découvrant mon collant résille. J’en ai le souffle coupé ! -Bah dis donc, quelle surprise Sa main me plaque contre la porte, m’empêchant de bouger, de toute façon, je suis paralysé. -Tu comptes m’expliquer ? -Mais laissez-moi, j’ai rien fait -Ok J’ai l’impression d’un répit, il libère sa pression. En fait non, il vient juste de s’emparer de mon sac, l’ouvre en grand et le renverse à terre. Mes affaires sont éparpillées, je suis rouge écarlate. Evidemment mes escarpins, mais aussi ma lingerie. Nos regards se croisent, son sourire narquois me fait paniquer. Personne ne connaissait mon petit secret jusque là. -Je, je peux vous expliquer -Plus tard Dans la foulée, il attrape un collant, et en quelques instants, il ligote chacun de mes poignets avec une des extrémités du collant. Je me suis laissé faire, sans savoir pourquoi. Quelques tours du collant, et voilà mes deux mains ligotées dans le dos. -Donc ? -Je, je comprends pas Je ne réagis pas quand il me retire complètement mon pantalon et me force à écarter mes deux jambes. Il envoie mon pantalon au fond de son salon. Mon dieu. Quelle scène. Il se redresse lentement, je sens son souffle sur mon dos. Il se colle à moi, ses lèvres à quelques millimètres de mes oreilles. -TU NE bouges pas, TU restes contre cette porte Il se recule, de 2-3 mètres, j’entends le bruit de ses pas sur le parquet. Je l’entends prendre une chaise et s’asseoir. Mon pouls bat à 130 à l’heure. Ma gorge est serrée. Pourquoi j’ai mis ce collant résille ce matin ? Pourquoi. -BOUGE PAS j’ai dit. Je réfléchis à comment on va s’arranger toi et moi. -Comment ? arranger ? je -TAIS toi, t’es dans la merde. -Je, je suis désolé Je l’entends bouger sur sa chaise. Je crois entendre quelques clics. Des photos ? Ma première envie de tourner la tête est vite inhibée, j’ai peur qu’il photographie mon visage. Je reste immobile, tentant de mettre de l’ordre dans mes idées. D’autres clics suivent. Ce con est en train de me photographier, heureusement de dos, le long de sa porte d’entrée, en petite tenue. -Ca fait longtemps que tu te travestis ? -Je, je suis pas un travesti, s’il vous plait, laissez moi -Tu veux sortir dans la rue comme çà ? Evidemment, je reste silencieux. Cette option ne m’avait même pas affleuré. Je suis venu à pieds, loin de chez moi, loin de tout. Il répète sa question d’un ton sec, il veut ma réponse. Je me tais toujours. Il se lève et s’approche pour me montrer l’écran de son portable. Mes yeux s’écarquillent en me voyant ainsi exposé, le long de sa porte, mon petit tshirt ne couvrant pas du tout mes fesses et mes jambes gainées d’un collant en résille. -Réponds, tu veux sortir comme çà ? -Non -Tu veux que je te traîne ainsi dehors, que je te ramène chez ton boss ? -Non ! non -Et ça, c’est pas un petit cul de trav ? Réponds ? -Je, je sais pas, je La première fessée me coupe la respiration. Sa main claque sur ma fesse. -Bouge pas. Je vais t’apprendre à te foutre de moi La deuxième fessée et la troisième suivent. Pile au même endroit. Le bruit claque bien dans la pièce. -Tu vas donc répondre à la question. Et çà, c’est pas un petit cul de trav ? Deux autres fessées suffisent pour qu’un oui s’échappe de mes lèvres. -Un petit cul de trav qui s’est foutu de ma gueule avec son retard -Oui, non, je - Bien, bouge pas. Il reste à côté de moi, collé, ses yeux me scrutent. Sa main se pose en bas de mon dos, d’abord quelques caresses, très douces. -Deux heures de retard…tss. Tu t’en rends compte de ce foutage de gueule. Des fessées se succèdent, peu fortes, alternant une fesse puis l’autre. Je préfère ne pas attendre. -Je, arrêtez s’il vous plait, -Qu’est-ce que tu dis? -Arrêtez -Mmmh. Très bien, ne bouge pas. Mon dieu, il vient de baisser mon collant, juste pour découvrir mes fesses. Ma respiration se bloque, des frissons incontrôlables me saisissent. Je le supplie d’arrêter. Il attrape maintenant un foulard et m’en fait un bandeau. Je gémis, je panique en pensant à la suite… -S’il vous plait. -Ecoute, t’as pas l’air finaude je trouve. Maintenant, tu vas faire attention. Une salope, avec un cul pareil, qu’arrive en retard de 2 heures et qui se fout de moi, ça mérite punition. Non ? -Qu’est ce que vous allez faire ? -Hummm, ce que je veux, mais déjà t’apprendre à te taire, sauf quand je te pose une question. C’est clair ? -….. - Tu restes bien muette. Me provoque pas. Sinon, j’ajoute un bâillon pour le reste de la journée. C’est OK ? Je reste silencieux, mais fais oui de la tête. Il a dit toute la journée ? Il a parlé du reste de la journée ? Je ne vois plus rien. Mes poignets sont liés. Et je sens sa main se poser sur ma fesse. Mon dieu. Une caresse lente. La sensation est incroyable, surprenante, je crois que j’ai la chair de poule. Il alterne avec quelques fessées. Sur ma fesse nue. Elles claquent bien. Je n’en reviens pas. Je sers les dents, je ne crie pas, je crains trop le bâillon. -Question, te trompe pas, ça, c’est bien un petit cul de trav ? -……. je, je peux vous expliquer Sa main se pose immédiatement sur ma bouche pour m’empêcher de continuer, et les 3 fessées suivantes claquent à mes oreilles -C’est un petit cul de trav ou pas ? oui ou fessée ? oui ou bâillon ? Je ne peux pas répondre avec sa main devant ma bouche. Nos yeux se croisent, sa main force ma tête à dire oui. Il modifie sa prise, ses doigts empoignent ma mâchoire, s’enfoncent dans mes joues, faisant ressortir mes lèvres. -….mououi -Répète tout -C’est un petit cul de trav -Bouge pas Il se retire de quelques mètres derrière moi. Je l’entends tirer une chaise, on dirait qu’il est assis juste derrière. Quelques clics photographiques résonnent. -Je disais donc, tu vas gentiment bien écarter tes jambes ma belle, bien à fond, tu te cambres un peu, allez Je crois que sans même réfléchir, mes jambes s’écartent un peu et mon dos se creuse. Je n’arrive pas à trouver une parade. - Ecarte plus. Et je veux t’entendre dire encore et encore, jsuis une petite trav. Incroyable. Je suis pas là depuis 10 minutes que cet inconnu me manipule comme ce n’est pas permis. Comment vais-je m’en sortir. Crier au secours ? Je sens qu’il n’hésitera pas une seconde à me réduire au silence. Essayer de l’amadouer ? Comment faire. En attendant, docilement, mes cuisses s’écartent, je suis le long de sa porte, mes fesses exposées à ses photos. Et sans même y faire attention, je murmure sa phrase -…Je suis une petite trav -Je demande des excuses pour mon retard -Je…demande des excuses pour mon retard -Ton cul est en chaleur, c’est ça ? -Je, ? -Répète -…non je Il se lève, mon pouls s’accélère. Sa main se pose sur ma bouche. L’autre sur ma fesse. -Tsss. 10 fessées me font comprendre qu’il est le maître. Sa main étouffait mes cris. Il s’arrête enfin puis se retire sur son fauteuil derrière moi. Mes fesses sont probablement rouges. Les secondes passent lentement. -Donc, tu disais sur ton cul ? Je t’écoute -Je, ………….mon cul est en chaleur -Bouge, bouge tes fesses, mets-toi sur la pointe des pieds. Voila. Continue et répète à voix haute toute la phrase. Avec petite salope, en retard, punition, et cul en chaleur. Allez ! Que je t’entende bien surtout Il va me faire répéter cette phrase plusieurs fois, jusqu'à ce qu’il soit satisfait, en m’ordonnant d’onduler des fesses, et en commentant mes mouvements, parlant de petit cul, de femelle en chaleur, que je le rends bien dur, et autres horreurs. -Tu veux partir ? Rentrer chez toi ? -Oui ! -Va pourtant falloir trouver un arrangement. Tu as de quoi me payer ce que j’ai perdu ? -Quoi ? mais non, c’est pas possible -Ca va faire quelques milliers d’euros de perte. -Hein ? mais vous êtes malade ? -Bouge PAS ! Tu peux pas me payer ? Ton patron alors ? -Mais j’en sais rien moi Il s’approche une fois de moi. Paf une fessée. Je perçois qu’il manipule son portable. -Fais attention comment tu me parles. Je t’ai bien filmé, je t’ai dans la boite. Tu sais que je connais bien ton boss. Je suis un de ces meilleurs clients, je l’ai déjà vu à des parties fines. Gros queutard. Grosse queue. Ca le dégoute pas les trav. Tu le savais ? -Je suis désolé, je vous jure, pour le retard, je savais pas -C’est dommage que tu la vois pas cette vidéo. Je peux lui montrer à ton boss, quand je le ferai cracher la somme qu’il me doit, je suis sûr qu’il appréciera. Ecoute J’entends le son d’une vidéo, le son de ma voix, puis de la sienne, je parle d’un cul qui a chaud, lui d’une jolie femelle. Il a vraiment tout enregistré. Je suis terrorisé. -Je m’en fous d’tes excuses à deux balles. Quand je vais lui donner la facture, à ton boss, et lui parler de toi, tu vas lui servir de casse-croute. Tous les jours. -Non je -Il sera furax. Je me marre. Un nouveau job crois moi. Vide couille. Tous les jours, dans son bureau. Si y a des clients, idem. T’es contente de savoir ça ? -Non, s’il vous plait, je suis pas -T’es pas quoi ? -Je, je suis hétéro, pas homo -T’es vierge ? T’es vierge du cul ? -Je, oui, s’il vous plait -C’est pas vrai, dis-moi que ce n’est pas vrai ? -Si, je vous jure Sa main me plaque contre la porte. L’autre vient glisser entre mes fesses. Son doigt se pose facilement sur mon sphincter. -Non, s’il vous plait Je me perche sur la pointe de pieds pour contrer l’avancement, son doigt fait des ronds doucement autour de mon sphincter. -Tais-toi ou je te bâillonne -S’il vous plait Son doigt continue son travail. Progressivement, il appuie de plus en plus et je sens son extrémité qui force le passage -Tu trouves pas çà incroyable cette rencontre ? -Je, s’il vous plait -J’allais me taper une magnifique bourgeoise, et hop, tu arrives comme une fleur -Arrêtez çà -Quoi ? Tu comptes m’en empêcher ? Comment ? Tu vas crier ? Je te le déconseille, un baillon c’est pas agréable. Je le sens moi, t’en as envie en fait. Je m’y connais. Ta rondelle, elle m’aspire là. Tu commences déjà à mouiller un peu. -Non, non -Petite salope, c’est que c’est vrai, toute serré, petite pucelle. Tu prends tout d’un coup de la valeur. Tu t’en rends compte ? -Non, je, s’il vous plait, retirez votre doigt, ça fait mal. Détachez-moi -Comptes-y. Tu veux que j’enfonce tout mon poing ? Tu veux un fist ? -Hein, non, ca va pas, j’étais juste en retard -Alors ta gueule, c’est clair ? Est-ce que c’est clair ? Sinon c’est le fist ? C’est clair bordel ? -Je, oui, ok, ok -Bouge pas Il s’écarte pendant quelques instants, je ne sais pas ce qu’il prépare, ce qu’il va chercher. En fait si, je le découvre quand je sens une noisette de vaseline se poser sur ma rondelle. -Allez, sois sincère, demande moi d’enfoncer mon doigt Je n’ai pas le temps de dire oui ou non, que son doigt me transperce. Je suis sur la pointe de mes pieds, et mon gémissement lui est sincère. Je n’ai pas le temps d’y penser que ses allers retours reprennent, bien plus amples que la première fois. Deux minutes passent ainsi, dans le plus grand silence. -Mmmh, tu sais que c’est une fournaise la dedans. Tu le savais ? -Non, je -Bouges pas, PETITE salope, tu sais ce que c’est, une petite salope ? -Non Paf une fessée. -Non qui ? -Non monsieur Sa main vient se poser devant ma bouche. Il pose son majeur sur mes lèvres. -C’est une gentille fille, comme toi, qui suce docilement avant de se faire enculer. Tu as compris ? Je veux que tu apprennes cette définition. Répète -Je, c’est une fille, qui suce avant de se faire enculer -Une fille comme toi ? -Oui Paf une fessée...Au moment où je cris, son majeur s’enfonce dans ma bouche -Oui qui ? La prochaine fois c’est le fist Je tente de répondre oui monsieur malgré l’intrus dans ma bouche -Alors suce un peu J’obéis docilement quelques secondes puis son majeur s’écarte de mes lèvres luisant de salive puis retourne sans ménagement entre mes fesses. Il s’accroupit derrière moi. Je me fais doigter sérieusement le long de cette porte les mains ligotées dans le dos. Que s’est il passé en si peu de temps ? -Puté, tu mouilles vites. Dis-moi, les chaussures de Cendrillon dans ce sac, elles sont à toi ? -Oui -Mets les Je fais ce que je peux, l’exercice est périlleux. Deux escarpins se faufilent dans mes pieds. Puis il me fait de nouveau écarter les jambes, il appuie sur ma croupe pour la cambrer, il recule de quelques mètres, il prend quelques photos. Je me sens humilié. Sa main me caresse, se faufile, me fait frémir. -Avec ces talons, t’es encore plus une salope non ?, réponds, réponds la vérité -……je, je sais pas -Mmmh, bouge pas bébé De toute facon, je ne peux pas, ainsi perchée sur mes talons. La position est peu confortable. Je sens une nouvelle noisette de vaseline et deux doigts cette fois ci se poser sur mon œillet. La pénétration est lente. Je crois entendre des clics de photos, le salaud est en train de s’amuser. Chaque millimètre de progression de ces phalanges résonne dans mon cul. Ma bouche est grande ouverte, comme si je voulais crier, mais je reste muette, ultra concentré sur cette invasion. -Mmmh, bah dis-moi, ça promet. Un fourreau pareil, mmmh. T’es faite pour être montée ! Je m’autorise des gémissements, les mouvements de va et vient reprennent de plus belle, la porte d’entrée encaisse mes balancements du bassin. -Tu veux du lubrifiant ou pas ? Réponds -Je, je, je sais pas, je Il s’écarte de nouveau, je crois qu’il s‘est assis de nouveau, j’ai l’impression qu’il est en train de rejouer avec son téléphone. Je panique comme jamais. -Mmmh, t’es bonne, dis moi que tu veux que je te lubrifie bien la chatte, parle fort que je t’entende -Je, non, c’est trop -Me fait pas répéter, sinon je te jure que ce sera sans. Dépêche -Je, je veux que vous me lubrifiez ma chatte -Ok poupée Les minutes suivant restent gravées dans ma mémoire. Deux doigts me fouillent le rectum, le remplissent de vaseline, jouent avec le sphincter, pendant qu’il fait repasser en boucle ma voix enregistrée suppliant cette insanité. Quand il s’arrête, mon esprit met quelques instants à reprendre le dessus sur mon corps. Mes jambes tremblent. Il en profite pour me retourner et me forcer à m’agenouiller devant lui. Coincé par la porte derriere, mes mains liées, le bandeau sur les yeux, je le sens juste devant moi. -C’était bon ? Je reste silencieuse, mais inconsciemment ma tête fait un signe de non. La gifle me surprend. -Cétait bon ? -..Oui -Tu es à moi ou pas ? - Oui Il me saisit par les cheveux et vient frotter mon visage sur son bassin. Je continue de répéter en boucle mes remerciements alors que je sens bien la bosse qui déjà doit déformer son bas ventre. Ce contact avec son sexe me fait comprendre à l’instant seulement, que je n’ai pas d’issue. -Tu la sens ma queue ? -Oui -Tu la veux ? -Oui Qu’est ce qui m’a pris ? Cette réponse est sortie automatiquement. Sans réfléchir. J’imagine le pire -Mmmh, t’es pas encore prête ma jolie Il me saisit par les cheveux puis me fait basculer, face à terre -Ecarte tes jambes, petite salope, tout de suite ! Mes jambes obéissent, comme si le ton très autoritaire avait fait exploser ma volonté propre. -Obéis, crois moi c’est mieux. C’est compris ? -Oui -Oui qui ? On dit monsieur -Oui, oui monsieur -Question, t’es du genre fifille docile toute douce ou du genre à pas comprendre et qui veut être brutalisée -Je, je suis docile -Monsieur. Répète -Je…suis docile, monsieur -Tant mieux. Mais te trompe pas, s’il te faut des gifles ou des fessées, t’es aussi à la bonne adresse. OK ? Ne Bouge pas d’un centimètre. J’entends ses pas qui s’écartent, il marche dans l’appartement. Et moi, je reste à terre, aveugle, apeurée. Il revient 3 minutes plus tard. Il s’est penché au dessus de moi, pour poser une noisette de vaseline sur mon œillet. Et immédiatement, je sens quelque chose forcer mon sphincter, de plus en plus gros puis d’un coup s’enfoncer plus facilement, comme happé. J’essaie de résister, mais je suis immobilisé. Un plug anal m’a violé, d’un trait. Le temps de crier. Je reste immobile, le plug aussi. -Tu restes là par terre. Silence J’entends de nouveau quelques clics. Ce salaud reprend des photos, d’en haut. Puis le collant est remonté, recouvrant bien mes fesses. D’autres photos sont prises, de l’engin en gros plan déformant les résilles du collant. Les minutes passent . -Tu en as marre d’avoir les mains dans le dos ? -Oui, oui monsieur -Une fille docile couchée aux pieds d’un monsieur qui lui fait peur, qui veut qu’on la libère elle fait quoi ? Que répondre, j’en sais rien ? Je suis à ses pieds, les yeux bandés, abasourdi. Je perçois juste devant moi quelques mouvements de ses jambes. Il retire ses chaussures, j’entends les bruits à quelques centimètres devant mon visage. -Je sais pas monsieur -Réflechis. Pense à une petite donzelle devant son seigneur ? Elle fait quoi ? Je commence à comprendre. Sournoisement son pied s’est avancé, il se faufile devant mon visage. Je ne peux m’enfuir. Je le laisse se frotter très lentement sur mon visage, ses orteils viennent provoquer mes lèvres. -Elle se soumet, tu comprends ? Montre-moi que tu comprends, que tu n’as pas le choix Je lui offre mes premiers baisers, sur le dos de son pied, signe de ma soumission. -Bien, bien, continue, comme une petite servante, qui connait les règles, obéir à son maître. Notre rapport vient de basculer, je m’en rends compte, mais je ne sais plus quoi faire. Je baise docilement ses pieds, ses chaussettes devrais-je Il s’écarte, je l’entends s’activer tranquillement. Pourquoi l’ai-je laissé prendre l’ascendant si facilement. Je n’arrive pas à éclaircir la situation. Il a mis un film à la télé. Un film porno. Les sons ne laissent pas de doute. Mes mains s’engourdissent dans mon dos. Et l’intrus dans mes fesses brule en permanence. Apres un temps incertain, il revient s’asseoir devant moi. -Grosse somme à rembourser quand même. Pas l’intention de te laisser beaucoup le choix. Tu m’écoutes ? -Oui -Premièrement, suffit pas de porter un collant ma belle. Je vais t’apprendre à être plus femelle. Tu vas aller te préparer pour moi. Petite douche quoi. Te faire belle. Jolie tenue. Toilette intime. Tu vois le genre ? -Je, j’ai pas compris -Tu crois quoi ? Je te dépucèle aujourd’hui. C’est ton cadeau pour le retard. Alors, tu vas te faire belle. Bien préparer ton cul quoi. C’est clair ? -Je, … -T’inquiète, je vais t apprendre, j’ai tout ce qu’il faut pour faire de toi une princesse -Je, s’il vous plait -Ta gueule ! Tu sens que t’as un potentiel de salope ? Réponds à ton boss Son pied vient de se poser sur mon visage, l’aplatissant au sol. -Oui, oui monsieur -OK, bouge pas Il se lève et enfin, il vient détacher mes poings endoloris. Une libération, je ramène mes bras devant et viens frotter mes poignets. Lui est retourné s’asseoir sur sa chaise. Mes yeux restent bandés. -Viens par-là petite chatte. Me fais pas attendre J’hésite une demi seconde, puis à 4 pattes je m’avance, guidé par le son. Je sens le plug bouger entre mes fesses. -Par-là ma minette. Viens voir ton maître. C’est bien. Voilà stop. Sa main vient caresser mes cheveux, ma joue. Je me laisse faire quelques instants puis il me force de nouveau à baisser mon visage à ses pieds. -Mmmmh, jsuis content que tu commences à m’obéir. Tiens, fais-moi plaisir bébé, maintenant que tes mains sont libres, enlève me chaussettes. Je reste silencieux. J’obéis, à tâtons je trouve ses chevilles lui retire ses chaussettes. Il me fait vite comprendre son souhait. Je baise ses pieds avec applications. Ses orteils viennent forcer mes lèvres et progressivement, je commence à les parcourir de ma langue. -Mmmmmh, j’adore çà bébé. Tu me plais. Toi aussi tu aimes ? -Oui, oui monsieur -Bien ,soyons clair, crois pas une seconde qu’il s’agit juste de léchouiller mes pieds et c’est fini ? -Oui, oui monsieur -Crois pas qu’il s’agit non plus d’un petit coup dans ton cul ou d’une ptite pipe et basta. Hein, pas du tout. Tu comprends ? -Oui monsieur Non, en fait, je n’arrive pas à imaginer ce qu’il a en tête. Ce mec est fou. Je dois trouver une solution. -Grosse somme. J’en veux pour mon fric. Pute de luxe, tu comprends ? On la sonne, elle est toujours docile. Ma réponse a du mal à venir. Il semble vraiment sérieux. Qu’est ce que c’est que ce plan ? Pute de luxe. -Ma pute, personnelle, t’es OK donc ? -Je, je sais pas, je Sa réaction ne se fait pas attendre. Il me prend, en fait me soulève, en me prenant par les cheveux, me voilà juste à genoux et une gifle me rappelle à l’ordre. Je suis abasourdi. -Tu disais quoi ? J’ai pas entendu ? Tu es ma pute, répète -Je, je suis votre pute - Redis-le -Je suis votre pute, personnelle - Me fais pas chier -Oui monsieur -Je vais baiser ta bouche et ton cul aujourd’hui -..oui, monsieur -Je vais baiser ton cul et ta bouche -oui monsieur - Tu trouves ca dégueulasse ? -Oui, non, euh Une gifle me rappelle à l’ordre -Non monsieur -Je vais être ton premier homme -Oui monsieur -Tu sais comment tu vas me remercier ? -Non -Simplement, tu vas me le dire, merci, pendant que je vais t’enculer, c’est clair ? -Oui monsieur -Tu aimes le sperme ? - ?? La gifle suivante ne me surprend pas autant que sa question -Je, je sais pas -T’as jamais gouté ? même le tien ? -Non, non monsieur -Incroyable, le mien est très bon, tu vas voir. Tu vas t’entraîner, on en reparlera. -Je, je sais pas -Avant de passer à d’autres choses, je veux que tu comprennes. Il y aura d’autres fois. Tu me dois beaucoup d’argent. Mes yeux s’écarquillent sous le bandeau. Que me raconte-t-il là ? -T’es docile. C’est bien. Recule de quelques mètres, allez, je te veux au milieu de mon salon. Allez Je fais ce que je peux, à l’aveugle, à 4 pattes. Puis je m’immobilise. Il vient tourner autour de moi, et me fait comprendre quelle position il souhaite me voir prendre. Une vraie chienne, la croupe offerte, les jambes écartées, les bras tendus devant. Les clics de ses photos m’obsèdent. -Mmmh, comme tu es belle, j’adore ca beauté. Je vais m’occuper de toi, promis. Je veux que tu comprennes. Tu es à moi. T’es ma femelle maintenant. Tu vas allez te changer. J’ai envie que tu sois encore plus femelle. Habillée comme une femelle qui a ses chaleurs. Tu comprends ? -Oui, oui monsieur -Baisse ton collant, et joue avec le plug, allez, montre moi J’avoue ne pas avoir compris de suite l’ordre donné, mais la peur d’une autre gifle ou de je ne sais quel autre châtiment m’a aidé. Alors docilement, sans discuter, je m’étale sur son parquet, prend des poses lascives, le collant découvrant mes fesses, et manipule délicatement le plug qui déforme mon cul. -Hum, parfait, tu es parfaite. Stop. Enlève ton bandeau. J’avale ma salive. Comme si un danger nouveau me menaçait. Comme si ce bandeau me protégeait. J’obéis enfin et observe mon hôte assis sur son fauteuil, au milieu du hall d’entrée, à 2 mètres de moi, le sourire au bord des lèvres, une bosse déformant toujours son entre jambes, les pieds luisants de ma salive. Je me rends compte que je l’ai à peine vu depuis mon arrivée chez lui. -Tu veux retirer ce plug ? -Oui, monsieur -Approche, voilà, encore, reste à 4 pattes, voilà, demande le moi, les yeux dans les yeux. Me quitte pas des yeux -Je, est ce que je peux le retirer ? -Oui, à une condition -…. J’avale ma salive bruyamment -Que tu le retires doucement, tout en me regardant dans les yeux. Je déconne pas Je suis bouleversé par sa perversité. D’où lui vient ses idées. Sa main vient doucement se poser sur mon visage, en fait sous mon menton, pour relever juste un peu ma tête. Je fais de mon mieux pour ne pas le quitter des yeux pendant que je retire l’intrus. Ses doigts caressent mon visage pendant ce temps. Un gémissement incontrôlé s’échappe de mes lèvres quand je suis enfin libéré. Je savoure les secondes suivantes ce vide. Doucement, il retire sa ceinture, j’ai l’impression que le temps se suspend. Mon imagination n’a pas le temps de s’emballer que, lentement, il vient la glisser autour de mon cou, en passant dans la boucle. Une laisse de fortune, je suis paralysée de partout. -Petite chienne. C’est tout ce que tu es. Tu vas répondre à mes questions ? -Je fais oui de la tête, avalant pour la nième fois ma salive. -Tu te sens chienne ? Je refais oui, sans réfléchir -Ce plug que tu tiens dans ta main, tu comptes me le rendre ? Je ne m’y attendais pas. Je fais un nouveau signe affirmatif -Il est propre ? Mes yeux s’écarquillent au-delà du possible. Mon cerveau s’arrête même de fonctionner. Que répondre ? Mon expression semble lui suffire -Montre le moi Ma main s’élève doucement, je ne sais pas quoi anticiper. Il apparait tout luisant de vaseline, un gros plug noir menaçant. Mais dès que mes yeux se reconnectent sur le siens, doucement, sa main se pose sur la mienne puis la guide lentement vers ma bouche. Fermement. Je résiste un peu mais la tension qu’il exerce sur la laisse me fait comprendre que je n’ai pas le choix. L’extrémité du plug vient se faufiler entre mes lèvres. Sa chaleur me surprend. Le gout, l’odeur sont des découvertes pour moi. -Garde le comme ca. Ecoute moi maintenant. OK ? Faire oui de la tête avec un tel engin me semble ridicule. Je tente un oui avec les yeux. -Pour faire simple, et je veux pas te le redire, ta bouche, ton cul, sont à moi. Ca te semble clair maintenant ? La réponse me semble évidente. -Ta bouche, crois moi, me la refuse pas. Si je dois glisser ma queue dedans, je veux pas sentir tes dents. C’est clair ? -oui -Ton cul, je le préfère bien propre, bien préparé. Tu comprends pourquoi ? Sa main vient enfoncer le plug plus en avant. Ma bouche accuse le coup avec répulsion. Mais la sensation de la laisse autour du coup me semble pire encore. -Regarde moi. J’en veux pour mon fric. Tu rentres dans ta tête que tu es ma chienne, ma pute, ma salope, tu comprends ? J’aime les femelles très cochonnes, ca te dérange ? aujourd’hui, tu vas y passer. Oui. Tu vas aller te changer, te préparer. J’ai le temps. J’ai pas envie d’un coup rapide. C’est clair ? réponds Sa main retire enfin le plug -oui, monsieur -Si tu fais chier, tu vas le regretter. Promis. Et ton patron va se régaler de mes photos. OK ? -Oui -Tiens, pour que tu comprennes, toutes ces photos, je vais te les envoyer, ce soir, et toi, tu vas gentiment me les retoucher. Je suis sur que tu vas savoir t’y prendre. Ca me plait de t’obliger à ca. C’est ok ? -Oui monsieur -Attends, une dernière chose, regarde moi. J’en veux pour mon fric. Une petite pipe suffira pas. Tu comprends ce que ca veut dire ? - ? je -Aujourd’hui, tu es ma chose. Mais c’est pas fini entre toi et moi. Tu reviendras quand je te le dirai. Pour la même chose. Tu es ma pute jusqu’à ce que tu payes ta dette. -Mais Je La laisse se tire et au moment ou ma bouche s’ouvre pour laisser passer un cri le plug s’enfonce à nouveau. Ses yeux me foudroient du regard -T’as compris ? -Mmoui -Ok, dégage dans la salle de bain. Prends tes affaires de pute. Puis tu reviens vite, le cul propre, je te veux avec des bas et le porte jarretelle, tes escarpins de chaudasse, avec ce plug dans ton cul, tu comprends ?
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